Le monde magnifique de cette épreuve à nulle autre comparable |
Le départ du 100km |
Arrivée au parking à 6h45 |
Pique Nique bien sympa entre amis |
100km à la Granit c'est de la folie, en single speed je trouve pas le mot ! |
les Dents de la Mer : de la rigolade à coté du profil de la Granit |
Etang de Jonas , la base de départ de la Granit'Montana |
Arrivée à l'Etang de Jonas |
Arme Fatale 6 prête pour son défi |
Remise des prix du 100km : comment motiver les participants :-) |
Mary avait eu l'excellente idée de proposer qu'on se retrouve tous pour un pique-nique. Superbe initiative qui nous a permis de partager un beau moment de convivialité . Il y avait donc notre délégation de la RP : le Benoilator de retour sur cette épreuve, Pat qui ne rate jamais une édition, mais à qui il arrive toujours plein d'aventures, Bast, enfin de retour parmi nous, youpi trop bien ! S'y ajoutait donc Mary et JM , Yves et son épouse, et enfin Pichotte et un ami eux aussi en provenance du Sud Ouest.
Nous arrivons à l'hôtel Ibis Limoges Nord à 17h . Accueil super sympa par Lucie qui sauve notre Benoilator. Il avait bien réservé à l'Ibis mais ... pas dans le bon ! Lucie corrige le tir, et lui fait même une remise "spécial sportif" . En prévision du pique-nique, on fait quelques courses en arrivant et grand amateur de pâtes, je m'étais mis en tête d'en faire cuire une belle portion. Cela nous vaudra un belle séance de fou-rire. Le réchaud à gaz que j'avais amené peinera à faire chauffer la grosse casserole, et mon idée de prendre des pâtes à cuisson rapide ( jamais testé ) s'avérera peu judicieuse : le résultat était un truc gluant immangeable. Je passe sur le fait que j'en ai renversé la moitié, le réchaud étant très instable. Faut bien s'amuser ...
En fin de repas, nous aurons aussi le plaisir de faire la connaissance de gars vraiment fous : deux participants inscrits sur le 100km , en single speed tout rigide avec un développement de 28x20. Magnifiques vélos, magnifique défi , faut en avoir pour oser de lancer sur ce terrain en fourche rigide et avec un développement pareil.
Et oui chers lecteurs, si vous lisez ce blog pour la première fois, sachez que le terrain d'Ambazac est à nul autre pareil. Si vous vous dites que la région de Limoges n'est peuplée que de collines et qu'il doit donc s'agir d'une épreuve plutôt facile, vous vous trompez lourdement. Du genre d'erreur que vous allez vite regretter s'il vous prend l'idée de participer sans avoir un peu creusé la question. Ici , ça ne fait que monter et descendre. A une dose et à un rythme inconnu ailleurs. Et quand ça descend, ne comptez-pas en profiter pour récupérer. Les pentes ici dont vertigineuses. Certes courtes, mais ça penche diablement fort, ça tourne sec , y'a du granit et des arbres partout. En fait , ça se raconte pas , faut venir voir. Chaque année, il ne faut même pas 10 km avant de voir des concurrents en perdition se demander où ils ont mis les pieds, à non pardon, les roues ( enfin , tant qu'elles restent accroché au vélo, pas garanti :-) ) .
Après ce bon moment, dodo , car avec l'arrivée du 100km , le départ passe de 8h30 à 7h ( ouch ! ) , 7h10 pour le 75.
Bonne nuit et nous voilà sur place à 6h45 . On regarde partir nos amis sur le 100 km avec une pensée émue pour ce qu'ils vont endurer. Départ tranquille, cette année , ce n'est plus une course FFC et franchement, c'est très bien comme ça. Finir la Granit, c'est d'abord une victoire contre soi-même.
7h10, à notre tour. J'ai une petite revanche à prendre sur l'année dernière où j'avais eu des soucis de chaîne au départ. Je me mets en première ligne. Paf c'est parti. C'est pas une course donc, mais bon, on n'a pas l'occasion de faire le holeshot 100 fois dans sa vie à mon niveau de pratique, J'appuie donc comme un forcené et parvient au premier virage en tête. Petit plaisir perso. Cardio en zone rouge, donc on calme le jeu et on attend les copains. Pat revient vite, il est lancé notre Patounet, j'en ai du mal à le suivre ! Pas le moment de me mettre dans le rouge, j'ai ma tactique aujourd'hui au vu de la chaleur annoncée. Partir doucement et accélérer progressivement si les sensations sont bonnes. Je ne cherche donc pas à aller plus vite. Bast revient, il n'est pas dans son rythme derrière moi alors que je mouline sur le 30x50 et passe. Tiens tiens, il avait dit venir en touriste pour rouler tranquille mais le naturel reprend vite le dessus. Je n'imagine pas le revoir avant l'arrivée.
La première bosse étire le peloton, la première descente le fait exploser. On dirait qu'il pleut des vélos de partout, les chutes étant nombreuses . Zut, j'aurais du appuyer un peu plus pour rester devant. Je vois Pat trois vélos plus loin, mais pas moyen de le rejoindre car les concurrents devant moi accumulent les refus d'obstacles et les roulé boulés dans la tourbe, et je suis bloqué derrière. Scène classique de départ de la Granit lorsque les premières descentes ultra raides font réaliser à tout le monde dans quel guêpier il est allé se fourrer.
Au passage, un début d'inquiétude se manifeste. Aucun parcours en région parisienne ne permettant de reproduire les tracés "granitesques", je réalise rapidement que ma fourche que je pensais parfaitement réglée n'est pas suffisamment gonflée pour ce parcours. Dans les passages délicats où on penche à 60% pour remonter ensuite sous un angle presque aussi pentu, je talonne. "Clac Clac Clac" et ça déséquilibre le vélo. Pas dramatique, mais j'évite de me lancer sur deux ou trois passages où je sens que ça va trop comprimer la suspension. Un peu frustré. Ca ne m'empêche pas d'avancer, mais ça enlève de la confiance et je crains une casse mécanique. Pourvu qu'il y ait une pompe haute pression au ravito. Je continue sur mon rythme. La première partie, souvent plus roulante est cette année plus dense. On tournicote sur de nouveaux passages, et je réalise au ravito (km 19 ) que la moyenne est basse. A ce train là, ça va être juste pour la porte horaire du km48 qu'on doit passer avant 13h25.
Je pensais rattraper Mary partie sur le 100 10 min avant, mais non . Tant mieux, ça veut dire qu'elle roule bien . On a par contre passé Pichotte assez rapidement qui semblait plus en difficulté ( en fait elle avait un souci de freins ) .
Pat est au ravito, Benoit arrive rapidement , Bast est déjà loin. Malheureusement, pas de pompe haute pression. Tant pis, on continue comme ça.
Je repars décidé à appuyer plus, pas question de louper la porte horaire. Je distance un peu Pat et Benoit . Les jambes vont bien, je soigne les trajectoires pour éviter de talonner. Ca se passe plutôt bien. Soudain un attroupement, avec quelques gars qui semblent un peu paniqués. Apparemment une descente "effrayante" . Je pose le vélo . La pente est très raide, avec une marche mais rien d'inquiétant, et aucun obstacle à part Pascal qui filme les passages :-) . Ca doit le faire, pas de rupture de pente donc pas de risque de talonner et ça passe tout seul , youpi , vivement le film :-)
Je rattrape Mary au détour d'un chemin . Elle rouspète un peu sur ses jambes mais elle avance super bien, il y a des centaines de gars derrière, chapeau la miss.
On arrive au ravito 2 au km 33 juste après. J'ai profité d'un ruisseau au bord du chemin pour faire trempette et refroidir. Il n'est que 10h30 mais il faut déjà très très chaud et ça fait du bien de refroidir la tête et les bras.
Toujours pas de pompe au ravito, zut de zut . Pat et Benoit arrivent, mais je repars avant, ça ne me réussit pas de rester trop longtemps arrêté. Je vois une voiture garée avec des outils de vélo au bord du chemin. "Tu aurais une pompe haute pression?" "Oui" . "YOUPPPIIIII!" . J'ajoute 2 bars dans la fourche et à partir de là mes amis, whaouh, j'ai enfin l'arme fatale dont j'ai toujours rêvé pour ces parcours. Le M06 devient super efficace en descente, tout passera facile désormais, je vais prendre un plaisir fou jusqu'à la fin .
Cette partie du parcours est nouvelle. Physique avec de longues montées mais plus facile techniquement . Rien de bien compliqué à descendre, le rythme augmente très nettement. A ma grande surprise, je rejoins Bast qui a un coup de moins bien, puis à nouveau Mary qui était repartie devant nous. Bast venu pour les descentes est un peu frustré sur ce passage. Pour ma part, ça me permet de décontracter les jambes et je me sens de mieux en mieux.
Dernier regroupement général à la porte horaire où j'arrive peu après 12h avec presque 1h30 d'avance. Tout va bien . J'attends tout le monde tout en faisant honneur aux victuailles. On retrouve même Alain qui était sur le 55. Mary est repartie, je la suis. Passages connus des Granit précédentes, avec ce qui était la liaison entre le ravito 2 et la porte horaire du 75. Cette année elle fait office de porte pour le 100. Le 75 tourne à droite, on a pas l'habitude. Seuls les participants du 100 ont le droit cette année d'aller jouer dans le Bike Park et ses fameuses descentes . On me colle une petite pastille rouge, témoin de mon passage, sur la plaque de cadre. Désormais, plus possible de rejoindre Mary, nos parcours sont séparés, je lui souhaite bonne chance intérieurement pour son défi énorme de boucler le 100, ça semble jouable avec sa forme du jour.
On retrouve de nouveau un parcours technique. Plus personne derrière, depuis le ravito 2 je rattrape pas mal de monde et c'est excellent pour le moral. Je saute donc de cible en cible, ça commence à faiblir et les bosses font du dégât , tout comme la lucidité qui diminue dans les descentes. A propos de descente, celle avant le ravito 4 est super top . Des bascules de pentes vertigineuses mais fluides, des montages russes, des virages en appuis en veux-tu en voilà. Le M06 virevolte, je prends un pied ENORME ! Depuis ma première participation en 2012 , je rêvais d'atteindre ces sensations ici . Il a fallu travailler physique et technique pour y arriver. Aujourd'hui tout est enfin réuni . Je ne subis pas le terrain et je profite à fond de ces sentiers incroyablement joueurs mais si exigeants. Et j'ai le vélo idéal , à la fois léger mais aussi agile et stable. Avec ce temps magnifique, la forêt est trop belle. On aimerait que la journée dure à l'infini . Euh non, là je m'emballe : c'est quand même très dur, mais que Pascal se rassure : cette année à aucun moment je n'ai imaginé exterminer les organisateurs pour cause de tendance affirmée à la torture. Que du bonheur en 2017 :-) .
Photo organisation depuis Facebook |
Tiens voilà déjà le ravito 4 , ultime du nom . 2ème pastille, noire cette fois.
Je fais un sort au saladier de saucisson, mange un sandwich au jambon, des pâtes de fruits, une banane, deux verres de St Yorre pour éviter les crampes et un gel que j'avais dans la poche. Pas de Pat, Benoit ou Bast cette fois. Je repars , ça à l'air de monter. En fait , c'est pas qu'une impression. Ca monte interminablement et fort. Le 30x50 est de rigueur, mais comme souvent, il n'y pas que la pente. Il y a des pavasses de granit partout et il faut multiplier les efforts pour passer dessus. Un gars avec un vélo vert demande à passer, je me pousse sur le côté, il a l'air frais comme un gardon le loustic.
1km plus haut, je le repasse, il a l'air rôti comme un poulet dans un four, normal vu la chaleur. Etonnant comme les choses changent vite, mais la chaleur n'aide pas. Heureusement que 90% du parcours est en sous-bois où on arrive parfois à ressentir un peu de fraîcheur.
On descend 30s après être montés 20 minutes, et on remonte 20 minutes après 30s de descentes. Pfuiii .... Je commence à avoir mal à la tête avec la chaleur. Une pente raide, je pousse 100m pour enlever le casque. Damned, le gars rôti s'est refait une santé, il me repasse. Je remets le casque , et attaque la poursuite. On va alterner tous les deux les phases frais/rôtis jusqu'à l'arrivée :-) . Dès que je vois un ruisseau, je fais un petit stop éclair pour m'asperger la tête et la nuque.
On est en terrain connu désormais. Je sais à quoi m'attendre : des bosses longues , longues, des descentes techniques, très techniques comme celle de Pouyaud et ses dalles de granit. Heureusement, c'est bien sec , mais faut rester attentif dans celle là , entre les épingles super pentues et les dalles, il y a moyen de se louper et de finir en salto encastré dans un rocher;
J'y vais prudemment mais surement. J'avais largué le rôti, je pensais que c'était définitif, mais le frais me rattrape une nouvelle fois dans la bosse suivante. Un vrai élastique.
On a passé ( ensemble ) le panneau 10km . L'arrivée approche et la fameuse descente du Castor aussi. Une pensée pour David. Cette année, c'est sec, ça grip parfaitement et en plus il n'y a plus les grosses ornières. Je guette le passage difficile, ne le trouve pas ( enfin c'est relatif ) et arrive sur la route. Avec l'ex montée finales des premières années à grimper. Ouh là , ils ont du importer un camion entier de granit. Les 10 premiers mètres sont quasi impraticables, mode pédibus. Pas mal de concurrents éparpillés dans la pente. J'entame l'ascension en moulinant. Epuisant cette montée, on bute tous les 2 mètres sur un pavé , faut relancer à chaque fois. Enfin le sommet ouf. Euh non , maintenant ça monte sur la route. Je me souvenais pas que Saint-Sylvestre montait si haut, puis je réalise qu'en fait, on est sur l'ancien départ.
Je reconnais le camping, et derrière je sais que c'est une descente rapide. Le M06 file survolant les cailloux, dans ce sens là, ils ne sont pas gênants. On serpente un peu, ça remonte aussi, puis les panneaux 3km, le single en devers avant l'arrivée. Mon camarade m'a largué dans la dernière montée, je donne tout pour essayer de revenir, je n'y arriverais pas. Mais je vais doubler un nombre incroyable de concurrents dans le single en devers. Il est tuant, technique à souhait et avec quelques coups de cul qui demande d'employer ses dernières forces. Surement l'avantage de savoir à quoi m'attendre. J'ai tellement confiance dans le vélo que je passe cette année, tous les passages scabreux avec les racines. Plus je double plus les jambes vont bien, l'adrénaline est mon amie. Voilà l'étang, et son tour en herbe fauchée. Pas le plus amusant, ça n'avance pas. Et voilà la ligne. Le micro du speaker qui nous encourage. Le premier du 100km a même droit aux bises des Miss Limousin, c'est pas juste ça, pourquoi lui ? 7h24 de roulage pour 2900 de D+ , record perso atomisé, super content, super sensations, super journée. 7 ans que je courrais après l'objectif de 10 de moyenne ( je vous assure sur la Granit, c'est pas une sinécure : 7,6 pour ma première ! ). Et pas la moindre chute, le terrain bien sec rendant quand même les choses plus faciles.
Surprise : Bastien m'attend à l'arrivée. Il ne se sentait pas bien au ravito 3 et a été raccompagné à par précaution . Mince. Heureusement ça à l'air d'aller mieux . JM est là aussi . Crampes pour lui, coupé à 80km.
Je prends le temps d'aller me doucher, laver le vélo, me changer, ramener la voiture près de l'arrivée. Voilà Pichotte qui a loupé la dernière porte horaire, elle a été handicapée par un souci de freins. Puis Yves qui a réussi l'exploit de terminer le 100. Mais il en a bavé, c'était vraiment extrême. Il nous dit qu'il n'a jamais vu plus dur et que l'Ultra Raid de la Meije est facile en comparaison. Bigre. 2h plus tard, à peine 40 concurrents sur les 160 du 100 seront arrivés ( dont une féminine ) . Un truc de fou . Enfin Benoit puis Pat arrivent, bien marqués. On les laissera se reposer de longues minutes avant d'aller chercher le plateau repas. Mary arrive aussi, elle a fait 86km , déjà un énorme exploit .
On reste un bon bout de temps à discuter avec tout le monde. Pas envie de partir . C'était une belle journée.
Comme toujours, une immense merci à nos amis organisateurs, pour cette épreuve hors norme et si conviviale.
10 commentaires:
Bravo Jean-Pierre, grosse performance.
Avec une telle "facilité", l'an prochain le 100kms de tend les bras.
Hervé
Quand je vois la réaction de Yves Pages à l'arrivée, je ne suis pas trop tenté par le 100. Yves, c'est quand même des top 10 sur de nombreuses épreuves énormes . Et là , il était détruit en nous disant qu'à coté, l'Ultra Raid de la Meije c'était du tourisme ... Mon objectif c'est de me faire plaisir, et dimanche c'était le cas. J'ai profité de chaque partie du parcours et en particulier pu profiter de toutes les descentes en pleine lucidité ce qui change tout ( sur certaines , j'ai divisé mon temps par trois par rapport aux autres années )
Salut Jean Pierre
Superbe tout ça ! Bravo pour le CR ! C'est excellent de revivre tout ça à tête reposé.
Bon ça me fait un blog de plus à suivre :-)
Je connaissais pas le tien.
Au plaisir de se retrouver sur la Granit puisque t'es un accro, ou ailleurs.
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YVES
Merci Yves . Impatient de lire ton compte-rendu :-)
Salut,
Superbe compte rendu !!! On a du se voir sur le circuit car j ai fini le 75km en même temps que le 1er du 100km 7h23.
Johann
Après avoir bu tes paroles, je suis le c.. entre 2 chaises !!
Inscrit l'année dernière sur un p'tit 55, je suis forfait à cause d'une tendinite.......du coup pas prêt cette année.........je lorgne 2018 et ton récit me rassure pas !! Va falloir travailler le foncier jusqu'à la date fatidique !!
En tout, gros coup de chapeau à tout les participants.........
Bonjour Eric. Merci pour ton commentaire . Il te reste reste encore 363 jours pour t'entraîner, ça va le faire :-) . Pour ma part, la Granit est une vraie motivation pour trouver le temps de rouler malgré un job très très prenant. Rien de tel que d'avoir un bel objectif. Si tu es en région parisienne, n'hésites à venir rouler avec notre petite équipe de fous
J'ai bien pensé à vous ce dimanche, avec envie. Merci pour ce CR très prenant qui rappelle bien l'aspect atypique de cette rando (tant mieux s'il n'y a plus l'effet course !) que l'on affectionne tant par son joyeux mélange de difficulté physique, de technique, de trace ultime, d'ambiance et de paysages plus beaux les uns que les autres.
J'ai l'impression que les étoiles étaient alignées cette années et que tu as pu atteindre (ou approcher ?) le nirvana du cycliste, l'osmose entre physique, vélo adéquate et trace parfaite.
Je vais me pencher sur mes objectifs 2018 pour faire en sorte que cette pépite puisse y entrer contrairement à cette année
Bravo et à très vite sur 2 roues (ou 3!)
Merci pour le clin d'oeil !
Belle Perf JP
Tu as connu l'euphorie de la course parfaite que j'ai connu dans l’édition 2014. Dommage que la chaleur ne m'a pas permis de rouler plus longtemps avec toi, malgré tout j'en garderai un bon souvenir, un parce que j'ai fini après 2 éditions terminées sur des abandons et deux pour avoir passé toutes les passages techniques sur le vélo en me faisant plaisir et sans aucune chute.
Dommage que je ne peux pas vous accompagner à l'ElSass Bike
Pat
Tu as bien résumé Pat . Pas encore atterri d'ailleurs, une partie de mes pensées reste sur ce terrain magique .
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