Nous voici à Hendaye pour 15 jours de vacances entre mer et montagne. J'ai pu récupérer pas mal de traces sur Internet avec un programme alléchant. Pour cette première sortie, j'opte pour une boucle passant par le col d'Ibardin. Le départ à froid est rude. Hendaye est un vrai circuit de montagnes russes et dès la sortie de la maison, ça monte à plus de 10%. Ça tire un peu dans les jambes, je monte sans forcer. Je récupère rapidement le GR10. Un peu de bitume sur les premiers kms, puis le terrain devient plus technique. Je retrouve avec plaisir les chemins du Pays Basque. Le terrain est très changeant : on passe en rien de temps d'un passage aride plein de gros cailloux à des sous bois humides. Il y a pas mal de monde sur le chemin et de nombreux vtt. Je constate avec satisfaction que je reviens facilement sur ceux qui sont devant moi. Les pentes sont souvent raides et le 22x34 est rapidement de sortie. Mais tout passe sur le vélo hormis un passage vraiment très raviné. Il commence à faire chaud et je suis bien content de rentrer dans le sous-bois qui procure un peu de fraîcheur. La vitesse moyenne est à peine supérieure à 10km/h, je me demande si je vais arriver à boucler les 40km prévus dans les 3h nécessaires pour rentrer à l'heure à la maison mais j'ai le col en vue, pas question de faire demi-tour maintenant. Passage magnifique au bord du lac de Xoldokogaina où j'aperçois mes premiers Pottoks, les petits chevaux sauvages typiques de la région. Au-dessus du lac, on se croirait dans la forêt Vosgienne, avec un sous-bois plein de pins avant de remonter très fortement pour rejoindre le chemin plus roulant qui m'amène au col d'Ibardin avec toutes ses boutiques. Retour à la civilisation après un grand bol d'air de nature sauvage. Je monte au sommet du col pour redescendre par un sentir qui donne sur le coté Espagnol. Je parie que le retour sera plus rapide, il est déjà 11h, je sens que ça être juste. Cette partie est un vrai bonheur : la vue est superbe et le sentier bien roulant. Le vélo file en descente pendant presque 1/2h. J'ai la banane jusqu'aux oreilles, ça tournicote en epingles qui passent à pleine vitesse, un vrai bonheur ! Je rejoins finalement les bords de la Bidassoa pour un retour à Mach 2 via la piste qui longe les berges de cette belle rivière. Je repasse coté Français pour l'arrivée sur Hendaye, il faut remonter en haut de la ville pour rejoindre la maison. Le GPS affiche 40km en 2h45 pour 900m de D+ et beaucoup de plaisir.
mardi 31 juillet 2012
dimanche 22 juillet 2012
Dimanche 22/07/12 : Saulx
Dernière sortie avant les vacances. Lever tardif vers 8H30, pas de nouvelles de Benoit donc j'opte pour un petit tour au départ de Savigny. Mais, surprise, finalement le Benoilator était bien là, il envoie un SMS à 8h45 pour s'excuser de ne pas avoir pu m'accompagner. Super, ça tombe bien, il n'est pas trop tard ! Nous partons finalement "vers" 9h45 en direction de la forêt de Saulx. Le temps est enfin estival, quel plaisir de rouler sous un ciel bleu et chaud. Les chemins sont secs, ça roule bien. Nous devons à plusieurs reprise mettre pied à terre pour contourner voire escalader de gros arbres tombés en travers des chemins. A croire qu'il y a eu une tempête sur place. Ce sera encore pire dans le bois de St Eloi, avec un gros arbre pourtant encore bien vert, brisé en deux. On se regarde perplexes avec Benoit, qu'est-ce qui a bien pu arriver ? Impact de foudre ? Retour par notre chemin habituel, cette fois il n'y a pas de chevaux sur le chemin. Petit tour dans les singles, on contourne trois petits toutous blancs puis retour vers Savigny via le parc de Morsang. Le bord de l'Yvette est super roulant, on appuie bien forts sur les pédales, sensation agréable se sentir le vélo accélérer sur un sol bien ferme. Nous arrivons devant chez moi avec 46 km au compteur pour 2h34 de roulage et 550 m de D+, une sortie vraiment agréable. Maintenant, ce sont les chemins du Pays Basque qui m'attendent, de beaux paysages, des petits chevaux sauvages et du D+ en perspective.
dimanche 15 juillet 2012
Dimanche 15/07/12 : Barbizon
La météo continue de nous jouer des tours pour ce mois de Juillet. Donc pour ce dimanche, pas d'hésitation, ce sera une nouvelle fois Barbizon. Semaine éprouvante avec une ambiance plus que morose au boulot, crise du marché automobile oblige et pas mal de soucis perso en prime. Heureusement, un vol magnifique en fin de soirée avec le J3 est venu donner un beau bol d'oxygène.Avec une invitation à un anniversaire prévue le samedi soir, je me demande dans quel état je serai le dimanche matin mais j'ai très envie de rouler. Je prépare un nouveau parcours, qui nous fait passer par le sud de Fontainebleau mais à l'envers des dernières fois. Je me réveille bien en forme le dimanche, à ma grande surprise. Me voilà bientôt converti au régime "Benoit" ce qui ne manquera pas de désespérer JP Stephan. Amortisseur quasi à plat lorsque je vérifie machinalement le vélo, le fantôme de la nuit du samedi a encore frappé. Je regonfle en vitesse, il va falloir envisager une révision de cet amorto qui n'en est pas à son coup d'essai. Je passe chercher Benoit et nous prenons la direction de Barbizon ... sous une petite pluie. Je tente de faire diversion dans la voiture en discutant de tous les sujets qui me passent par la tête. Le bras de Benoit va mieux après sa chute du week-end dernier, ouf. Nous arrivons sur un parking quasi désert, pas de trace de Thierry, un de nos collègues de Saint-Michel qui s'est porté volontaire pour nous accompagner sur cette sortie. En fait, il s'était garé sur le parking de la N7 et nous rejoint rapidement. Nous partons vers 8h45, avec une variante pour traverser les Gorges d'Apremont. Elle est plutôt sympa et quasi roulable sur sa totalité. Nous arrivons finalement en bas de la descente au pied de la D409 pour remonter par le chemin habituel sur les Gorges de Franchart. On longe le Long Boyau, traversée délicate de la zone d'entraînement de la gendarmerie avec un sable bien profond puis nous arrivons ans la zone magnifique du single qui longe la route de Medicis, au bord de l'aqueduc. Passage très agréable, les vélos filent dans les hautes herbes un peu humides. Le tracé devient technique dans la zone du Rocher de Bouligny puis le Rocher d'Avon. Technique mais roulable la plupart du temps. J'ai mis mes lunettes de vélo avec le clip optique qui présente un petit défaut : je vois bien de loin mais pas bien de près, ce sont mes anciens verres. D'où quelques difficultés à lire la trace avec précision. Ca nous vaudra quelques erreurs de parcours et on trouve le moyen de repasser trois fois au même endroit sous l'oeil plus que goguenard du sieur Benoit. Ah oui, il faut préciser que la trace avait un petit bug rédhibitoire sur les GPS Garmin ce qui a empêché notre maître navigateur de la charger sur le sien. Je suis donc seul à naviguer. Thierry reste impassible et suit le train, avec sans doute un peu d'inquiétude. Finalement, on retrouve le bon chemin qui nous emmène à Avon. Quelques belles bosses me permettent d'affronter l'homme aux pois rouges et ma foi le résultat est encourageant. Il doit s'employer pour franchir les passages en tête avec à peine un vélo d'avance. Notre petit jeu entame sérieusement les ressources de Thierry qui donne quelques signes de moins bien. On traverse le Mont Andart puis la Roche Eponge pour remonter sur la tour Denecourt. Une longue montée dans ce sens bien qu'elle ne soit pas très difficile. Quelques petites averses ponctuent parfois l'itinéraire. Benoit n'hésite pas à sortir le KWay mais en général pour mieux le ranger 5 minutes plus tard. Il ne fait pas froid et il est difficile à supporter. Après Dénécourt, c'est le Magic Single qui se présente sous nos roues. Un vrai bonheur. La végétation est touffue et ce n'est qu'en regardant la trace au retour que j'aurai confirmation que nous étions bien sur notre chemin préféré. Il était difficile à reconnaître à cette époque de l'année mais toujours aussi jouissif. Thierry est cette fois sur la réserve, escorté par Benoit. Je les attends aux intersections. J'ai prévu une variante pour le retour, en zappant le single en devers. Nous arrivons sur un léger faux plat sur une voie romaine. En fait de faux plat, c'est une très longue montée. Dommage que Thierry soit fatigué, c'était un endroit idéal pour un affrontement tout en puissance. Un truc à faire avec Bastien et nos amis d'ADP :-) . Le tracé se révèle amusant, il y a du single et quelques descentes bien techniques. Nous arrivons finalement sur le parking de la N7 où nous laissons Thierry pour filer sur la plaque et à un rythme soudain beaucoup plus rapide rejoindre la voiture au point de départ. Benoit est en retard, il ne faut pas tarder. Nous arrivons finalement avec 47km, 3h40 de roulage et 650m de D+ . Je suis très content de ce tracé, varié et ludique. La dernière partie peut se faire à bonne vitesse, à refaire un de ces jours en mode turbo. Sensations excellentes aujourd'hui, l'effet Granit est toujours là.
dimanche 8 juillet 2012
Dimanche 08/07/12 : Barbizon
Encore une semaine pluvieuse, à croire que cela n'en finira jamais. Les randos sont en pause vacances en RP jusqu'à fin août. Je réfléchis donc à un parcours pour ce dimanche, et pour éviter la boue, je me dis que St Arnoult ou Fontainebleau sont des bonnes options. Benoit a une contrainte pour le dimanche midi, Ludovic n'est finalement pas dispo. Un tour dans le coin? C'était sans compter sur les trombes d'eau qui tombent toute la journée de samedi. Je prévois finalement un sortie courte à Barbizon pour pouvoir rouler avec Benoit. Lequel est moyennement rassuré par les prévisions météo. Je sors donc mon arme imparable, la météo aviation. On opte pour un départ matinal. Dimanche matin, je descend à la cave chercher le camel pour le remplir. Et là , horreur et malédiction ! Un vrai déluge a du s'abattre pendant la nuit, j'ai de l'eau plein le sous-sol. J'envoie un SMS à Benoit pour le prévenir que je serai en retard le temps d'évacuer l'eau. Ce n'est pas une première, on est équipés : pompe, raclette etc ... J'ouvre le garage : il tombe des cordes :-(. Je m'attends à recevoir un message de Benoit pour annuler, il n'aime pas l'eau. En fait, il attends la même chose de ma part, plein d'espoir à l'idée d'éviter une sortie humide. Mais je ne suis pas décidé à lâcher le morceau ! Il y a la Granit 2013 à préparer :-). Cave nettoyée, vélo chargé, j'y vais sous l'oeil inquiet de mon épouse qui se demande si je ne suis pas devenu fou. Pas d'inquiétude, je l'étais déjà :-) . Je récupère un Benoit plein d’enthousiasme qui charge un gros sac plein d'affaires de rechange dans la voiture. Séquence inquiétude. Nous filons vers Barbizon sous un ciel plein de nuages gris et bas. Là, il faut y croire. Séquence conviction. Nous voilà sur place, il y a des lacs dans la forêt. Je n'ai jamais vu ça. Il tombe quelques gouttes, mais cela semble évoluer dans le bon sens. Et nous partons sur le parcours, 32 km au programme pour rentrer tôt. On monte en haut des gorges d'Apremont par l'itinéraire "Franck". Le terrain est parfaitement roulable, comme toujours dans cet endroit magique. Il faut quand même éviter quelques belles mares. Nous commençons l'ascension. La végétation est en plein croissance, bien abreuvée. Au sommet, on rentre dans un véritable mur de fougères. C'est assez extraordinaire comme sensation. On se croirait en plein jungle, tout juste si on aperçoit le chemin. Séquence aventure. On ne s'étonnerait pas de croiser Tarzan au détour d'un virage, mais ce sont deux belles biches et un lièvre qui viennent nous saluer. Séquence bébêtes. Nous voilà dans la bosse du Rocher Cuvier Chatillon. Je me sens bien ce matin et les jambes tournent toutes seules. J'adopte un bon tempo dès le bas de la montée. On grimpe à une vitesse record, je crains une attaque du Benoilator mais je parviens à garder la tête jusqu'au sommet. Séquence mal aux jambes. Nous voilà désormais sur le single en devers, plein de cailloux et racines mouillés qui n'attendent qu'un vététiste téméraire pour le jeter au sol. On n'en mène pas large mais on passe victorieusement. Séquence technique. On arrive dans la zone Remiremont et la bosse raide qui suit pour enchaîner sur le Magic Single. J'ai prévu de raccourcir mais je n'arrive pas à me résoudre à quitter ce chemin si ludique, d'autant que soleil fait son apparition. Malgré l'eau omniprésente, ça roule bien et c'est du pur bonheur. Retour par l'itinéraire de Patrick en sens inverse. Benoit glisse sur un tronc couché en diagonale, c'est la chute. Séquence émotion. Plus de peur que de mal, des ronces ont amorti le choc :-). Dans la montée après l'hippodrome, Benoit montre qu'un Benoilator peut à tout moment retrouver son âme de grimpeur. Effet magique, son maillot se couvre de pois rouges. Séquence Tour de France. Je souffre pour m'accrocher à quelques mètres sur une pente raide avec le 32 en service. Retour à la voiture via le souterrain du parking de la N7. Il est rempli de 30cm de flotte ! Séquence sous-marin, les roues dépassent à peine. On en ressort hilares et les chaussures remplies de poissons rouges. Retour à la voiture après 34km d'une sortie bien amusante avec le sourire aux lèvres.
dimanche 1 juillet 2012
Dimanche 01/07/12 : La Nez de Boeuf à Maisse
La Nez de Boeuf a toujours été une de mes randos préférées. Ne serait-ce que parce-que c'est la première que nous avons faite ensemble avec Benoit à l'époque où elle avait lieu au mois d'Avril. Roland venait d'avoir son Prophet et avait cassé l'amortisseur. Souvenirs ... :-) . Cette année nous sommes inscrits sur le 70km pour profiter au maximum de ce dernier parcours avec Bastien qui part en vacances. Avec l'entraînement Granit, ça ne devrait pas poser de problème. On se donne rendez-vous à 7h30 aux inscriptions. En préparant le vélo la veille, la valve NoTubes de la roue avant se met soudain à fuir. Pourquoi ? Mystère .... Je démonte, change de valve, rien à faire. Après plusieurs tentatives pour bien la mettre en place ça semble bon et le pneu tient toute la journée. Mais dimanche matin, catastrophe, pneu à plat. Je regonfle et un psshiiiit inquiétant se fait entendre. Pas question de prendre le risque de galérer sur le terrain. Je secoue la roue pour répartir le latex mais je prends celle du BeOne en secours si ça ne tient pas pendant le trajet. On arrive à Maisse vers 7h40 avec le 1/4h perdu en problème mécaniques matinaux. On voit la voiture de Bastien parmi les toutes premières arrivées. Il doit nous attendre depuis longtemps ! On sort les vélos. J'opte pour la roue du Beone, du latex suinte par la valve de la ZTR ce qui ne me dis rien qui vaille.Benoit disparaît soudainement ! Je regarde partout, sous la voiture, tout autour de moi. Rien ! Volatilisé. Enlevé par des martiens attirés par le maillot vert ? Et là qui vois-je ? Bastien qui arrive, aussi en retard que nous. "Benoit n'est pas là?" "Ben si, il y a bien son Lapierre collector devant ma voiture". Et puis nous le retrouvons en compagnie de Eric et Christophe. Mystère dissipé. Il va falloir assurer ce matin avec de pareils compagnons de route. Inscriptions fulgurantes, nous nous lançons sur le parcours. Le départ est différent de l'année dernière, ça monte en pente douce, on arrive à s'accrocher derrière les deux locomotives. Christophe nous annonce qu'il s'est inscrit à la MB Race pour la semaine prochaine. 140km et 6600m de D+. Arghl ! Première descente roulante. Je suis derrière Eric et Christophe, Bastien dans ma roue. On arrive sur la route puis virage à droite. J'entends un énorme bruit d'air derrière. Et zut me dis-je, c'est Bastien qui a crevé. Vu le bruit, c'est mal barré. Je vire à droite, le vélo zigzague dans tous les sens. !!!!! C'est MON PNEU qui est crevé ! Incroyable. Comment est-ce possible sur ce terrain tout propre ? Et puis normalement, lorsqu'on roule avec lui, c'est Eric qui crève. Décidément, je suis maudit en ce moment. Arrêt impératif, Eric et Christophe prennent la poudre d'escampette. Inspection du pneu : flanc déchiré sur 1cm 1/2. Je tente de regonfler sans y croire. Le pneu n'y croit pas non plus, il faut monter une chambre. Je gonfle à mort craignant une crevaison lorsqu'on sera sur la partie technique du parcours. Nous repartons à trois. Cette première partie est assez calme. Une descente bien pentue dans la terre meuble au km 12 me rappelle la Granit. Mais l'accroche est excellente, pas de problème ici. Arrivée au ravito après 14km, arrêt rapide et nous repartons. Le parcours va crescendo. Quelques parties roulantes permettent de se reposer pendant que nous profitons de singles magnifiques, fluides et ludiques. Le Larsen gonflé à 3 bars derrière occasionne quelques pertes d'adhérence mais ça reste gérable.Le terrain est très correct, juste quelques flaques évitables. Bastien accroche deux concurrents qui mènent bon train et finit par prendre petit à petit un peu d'avance. Regroupement au ravito 2 situé au km 35 devant le château de Courance. Je me sens de mieux en mieux au fur et à mesure que la contrariété des problèmes mécaniques du matin s'estompe. On repart pour une troisième partie sympa avec quelques belles bosses plutôt roulantes. Benoit a un petit coup de moins bien, il n'a pas roulé depuis la Granit. Je passe dans une côte :-). Le parcours est toujours agréable, vraiment ludique avec des passages superbes. Dernier ravito au km 52, le même que le premier. Il est un peu dévalisé. Bastien repart devant pour suivre ses lièvres pendant que j'attends Benoit. Une jolie concurrente blonde nous inciterait volontiers à prolonger cet arrêt, mais l'heure tourne et le devoir nous appelle. La dernière partie mérite cinq étoiles. C'est absolument génial : des bosses raides, des descentes idoines, des talus sympas, des montagnes russes, du single à gogo avec une mention spéciale au dernier, absolument magnifique. Je me sens super bien, et je peux profiter au maximum du parcours en relançant partout et en venant à bout de toutes les difficultés à part une épingle à 180° en bas d'une descente dans le sable que je n'arriverai pas à négocier. Arrivée au bout de 64km, 4h de roulage et 1150m de D+. Je me sens tout frais, sensation agréable. Benoit nous rejoint quelques minutes plus tard, il avait un peu mal aux jambes. Bastien nous attendait après avoir bien profité aussi de ce dernier tronçon qui a été fatal à ses deux lièvres. On discute avec Ludovic et Roland qui ont fait le 55. Et si on programmait la Granit 2013 comme sortie club ? Excellent parcours que cette Nez de Boeuf 2012, à recommander, bravo aux traceurs.
Inscription à :
Articles (Atom)