Pour ce dimanche, j'avais prévu de participer à la Polaire à Dourdan. C'est une rando dont j'ai souvent entendu parler et je n'avais jamais eu l'opportunité d'y participer. La date est avancée pour cette année, au grand damn des organisateurs qui se retrouvent en concurrence avec d'autres manifestations comme Montgeron. Pour autant, la météo fait en sorte que la rando mérite son appellation avec un froid polaire et de la neige prévue ce dimanche matin.
Samedi après-midi, je fais un check du HIHM3 après la sortie plus que boueuse de dimanche dernier. Les plaquettes arrière sont HS et bonnes à changer. C'est impressionnant la capacité de la boue à bouffer les plaquettes! Curieusement, l'avant a mieux résisté. Une fois les plaquettes neuves en place, petit essai de roulage pour les roder un peu. Et là, mauvaise surprise, bien que nettoyée et graissée dès l'arrivée, il y a un truc qui ne va pas avec la chaine. Il y a comme une vibration dans la transmission à chaque tour de pédale. Retour au garage, je démonte la chaine pour la faire tremper dans un bain de pétrole. J'y retourne une heure après et là, horreur ! La chaine s'est coupée en trois morceaux, plusieurs maillons ont lâché rongés par la boue. Fichtre ! Je fonce à Culture Vélo racheter une chaîne neuve. Au vu du prix des cassettes en magasin, je reporte le changement de cassette à la prochaine commande en ligne, c'est pas l'idéal de ne changer que la chaine mais tant pis. Tout rentre dans l'ordre avec la nouvelle chaîne, ouf. Pas de volontaires pour m'accompagner à Dourdan, c'est donc en mode lonesome cow-boy que je prends le chemin de Dourdan. Il fait froid et humide, aglagla. La tenue d'hiver est de sortie, du coup, les couleurs de St Michel ne sont plus visibles me voilà en mode incognito. Arrivée à 8h30 à Dourdan, j'aperçois quelques maillots oranges et bleu sur le départ pendant que j'en finis avec l'inscription. Départ en traversant Dourdan puis on monte dans la forêt par de grands chemins. Cette première partie de parcours est un peu monotone, pas beaucoup de singles à se mettre sous la dent. Un vététiste équipé du même vélo me double, je resterai 100m derrière tout le long de ce tronçon. Pas très envie de forcer, le moteur est froid. Le terrain est gras, mais le sol a un peu gelé, il y a donc des appuis. Rien de bien méchant, et ces derniers temps, je finis par aimer rouler sur les terrains glissants, c'est assez fun de sentir le vélo partir dans tous les sens. Le Toro fait toujours merveille, aucune côte n'en viendra à bout aujourd'hui. On arrive au premier ravito après 20km. Les organisateurs sont un peu dépités d'une assistance faiblarde. Rien à dire sur l'organisation, ravito et fléchage lights mais corrects. Il y a même des boissons chaudes. Malheureusement, ce qu'il me faudrait, c'est une bouillote pour les pieds. Le reste ça va, mais mes petits petons sont complétement gelés et la sensation n'est pas très agréable. Je repars avec mon frère jumeau qui appuie férocement sur les pédales et part devant. Mais les bosses suivantes ont raison de son enthousiasme et je reviens sur lui. On enchaine sur la récompense du jour : le fameux single de l'autoroute à St Arnoult. C'est Holiday on Ice sur la première partie. Un embouteillage se forme sur le raidillon qui marque l'entrée du single. Il y a des vélos partout, le sol glissant ayant raison de toutes les tentatives. Je tente le coup et à la stupéfaction de l'assistance médusée, ça passe impeccable, même pas de patinage. Là, c'est le grand moment de satisfaction du jour. On enchaîne sur le reste du single, toujours un régal. Suivent quelques grandes allées dans la forêt de Dourdan, je dois m'arrêter pour enlever le garde-boue avant qui ne tient plus. Cela permet à mon camarade du jour qui fatigue de recoller. Dernier single très sympa et étonnement lorsque on rejoint l'arrivée après seulement 37kms. Où sont passé les 8 manquants ? Mystère , tout le monde a le même kilométrage, y compris Christophe d'ADP que je croise à ce moment. Au final, une rando pas désagréable mais il y avait moyen de mieux faire dans ce coin. 36 km, 870m de D+ en 2h30 au GPS .
dimanche 28 novembre 2010
dimanche 21 novembre 2010
Dimanche 21/11/10 : l'Escapade du Petit Prince
J'avais depuis plusieurs semaines décidé de participer à l'édition 2011 de l'Escapade du Petit Prince. Il faut dire que cette rando se déroule à Poissy, à 60km de chez moi mais ... c'est là que je travaille et pas mal de collègues de PSA étaient partants. Difficile de laisser passer une belle occasion de rouler ensemble, ce qui n'arrive pas si souvent. Les pluies des dernières semaines laissaient augurer un terrain gras dont la forêt de Marly a le secret, j'avais donc monté à l'arrière un Toro Tubeless Ready, une première, mais j'avais eu l'opportunité de l'avoir à un prix intéressant et j'en avais entendu du bien notamment sur le site de Pedalator. Le relatif beau temps de la semaine laisse espérer que le terrain ait un peu séché. Samedi, temps superbe. Comme je ne pourrai pas rouler ce dimanche avec mes amis d'ADP qui vont à la Milliacoise tout comme mon club de St Michel, j'en profite pour leur faire découvrir une autre activité et nous allons faire une belle balade avec le "Zoulou 2 fois", une après-midi très réussie. C'est donc avec un moral d'enfer que je me lève dimanche matin, sachant à l'avance que je vais découvrir un plafond bas et de la pluie. Gagné, c'est même pire que prévu, il pleut pas mal. Un temps à ne pas mettre un Benoit dehors ! J'arrive à Poissy à 8h ( notez l'exploit ) , et je ne trouve que Pierre sur le parking. Manifestement, les conditions météo ont douché les bonnes volontés. Ma fois, ce n'est pas bien grave, Pierre est notre organisateur en chef de sorties VTT, c'est donc un vrai plaisir de rouler en sa compagnie. Aux inscriptions, je découvre qu'Henri est venu également avec son club. Mais ses ... lunettes de soleil constituent un camouflage efficace, sans compter le coté un peu décalé de l'accessoire au vu de ce qui tombe dehors. Je troque le coupe-vent du club contre un Kway plus étanche. Et nous voilà partis sur le parcours 50km . On remonte à bonne allure la petite file de courageux qui s'élance sur le parcours et au bout de quelques kms, nous voilà bien seuls tous les deux. Henri a disparu à l'arrière. Nous rentrons bientôt dans Marly, itinéraire connu et utilisé pour quelques sorties le soir en été. Je suis bluffé par le Toro sur ce terrain. Contrairement à l'Essonne, la boue est ici liquide et peu collante. Le Toro mord bien dans le sol et je ne serai quasiment jamais handicapé par l'adhérence, hormis quelques passages bien raides et un peu glaiseux. Pour autant, le terrain est plus usant qu'à l'habitude, ça colle quand même bien par endroits. Le parcours est un vrai jeu de montagnes russes sur cette partie, montées/descentes s'enchaînent sans discontinuer. Nous arrivons au 1er ravito après 15km sympas, le temps n'est pas trop gênant. Et devinez qui tient le ravito ?? M. Pedalator himself qui nous propose gentiment un café pendant que Mme Mary Pedalator mitraille les concurrents avec son appareil photo. On repart sous une pluie battante, cela commence à pénétrer les vêtements ce qui est déjà moins agréable. Le terrain est toujours physique même si ce tronçon est moins vallonné. Mon frein arrière se met à perdre toute efficacité ce qui me vaut quelques chaleurs dans les descentes, je dois compenser avec l'avant ce qui provoque quelques départs en sucette de la roue heureusement rattrapés et ponctués du célèbre cri de détresse de St Michel. On croise une course d'orientation, organisée par Christophe un collègue. Moments délicats car le croisement du troupeau de coureurs avec le troupeau de cyclistes en sens inverse n'est pas sans risques.Pierre commence à souffrir de crampes peu avant l'arrivé au ravito 2 situé au km 33. Ericycles a mis en place un stand pour laver et graisser les transmissions, bravo, c'est vraiment une idée géniale et ... nécessaire. Le HIHM3 commençait à souffrir de méchantes remontées de chaine. On repart pour la dernière partie avec quelques belles côtes dont la fameuse bien raide pour laquelle j'étais venu. Par ce temps, ça ne va pas le faire me dit Pierre. Mais qui ne tente rien ... Je m'applique à coller l'arrière au sol . Ca grimpe , je passe la première partie raide, le moral est là. J'enchaîne et le sommet se profile à 2m. Hélas un instant de déconcentration et les jambes qui commencent à fumer me font faire un petit écart fatal, je perds l'adhérence et je dois mettre pied à terre. Maintenant, je sais que c'est possible, je reviendrai . Grosse crampes pour Pierre au sommet. Et ce n'est pas fini, les montagnes russes continuent. Devant les crampes de Pierre, on décide finalement de shunter deux petites boucles pour éviter deux nouvelles bosses. Pas bien grave vu l'état du terrain, je n'y tenais pas plus que cela à ces bosses même si les jambes vont bien aujourd'hui. A ma grande surprise on remonte sans patiner la dernière côte raide qui nous fait sortir à coté du lycée agricole avant de débouler à pleine vitesse dans la forêt de St Germain. Au final , 46km ( avec deux boucles en moins ) en 3h30 de roulage et pas loin de 1000m de D+ sur Sportracks. Une belle rando et un beau moment de VTT malgré le temps. 460 inscrits au final, vu les conditions, c'est un bel exploit . Organisation, ravitos et fléchages parfaits, merci au club VTT de Poissy.
vendredi 12 novembre 2010
Vendredi 12/11/10 : Barbizon de Kilo Hotel Sierra , bonjour !
Après la très agréable sortie de jeudi, je suis rentré à la maison, en me disant que vu la météo, il était temps de songer à préparer le train de pneus "hiver". Je profite donc de l'après-midi pour monter un Mountain King 2.2 à l'avant et un Toro Tubeless Ready 2.1 à l'arrière sur les ZTR. Comme d'habitude, j'en bave avec le Moutain King qui ne veut rien savoir malgré le compresseur. Je finis quand même par y arriver après une heure d'efforts et pas mal de latex gaspillé. Et soudain, j'avise le KHS qui me regarde d'un air tout triste depuis le home trainer où il réside depuis un an. Il me dit qu'il a bien envie de prendre un peu l'air pour de vrai et qu'il en a marre du virtuel. Mon sang ne fait qu'un tour, je lui monte les ZTR et je remets en place les freins, inutiles sur le TACX. C'est décidé, je l'emmène faire une petite sortie à Barbizon demain, avec pour objectif de rouler pour le fun sur les singles des gorges d'Apremont en profitant du confort royal offert par les 150mm de débattement. Le temps est correct ce matin après la tempête nocturne. Nous arrivons à Barbizon vers 9h30, et pendant 2 heures, je roule sans autre objectif que le plaisir, au milieu des rochers et des fougères. Le débattement permet de franchir les obstacles avec une méthode très simple : on fonce dessus et ça passe ( enfin , pas toujours :-) ). J'avais oublié la stabilité extraordinaire en descente de ce vélo, c'est un vrai rail. Evidemment en montée, c'est un peu moins réactif que le HIHM3 mais il monte tranquillement et imperturbablement, d'autant que les ZTR lui confèrent quand même un certain dynamisme. Et puis JP Stephan explique dans son bouquin qu'il est profitable de rouler en hiver sur un vélo plus lourd, ça fait les muscles. Retour à la voiture à 11h30 après une belle balade et dans une forêt quasi désertique ce matin.
jeudi 11 novembre 2010
Jeudi 11/11/10 : Barbizon version Franck
En pleine mise à jour de mon téléphone vers Android 2.2 Froyo, je reçois mercredi soir un SMS de Franck proposant une sortie sur Barbizon. Voilà une belle occasion de rouler avec la troupe d'élite d'ADP et du VCBS. Reste plus qu'à préparer les grappins et les steaks espagnols pour arriver à suivre le TGV. Franck promet un rythme cool, j'ai de gros doutes au vu des noms prestigieux qui composent l'équipe : Franck et Alex d'ADP, Eric et Patrick du VCBS et Patrick "Fontainebleau" himself. En fin de soirée, je reçois la trace GPS de Franck. Le parcours a l'air très bien tracé et la réalité va confirmer la théorie. J'arrive sur place à 8h30 pile, tout le monde m'attendait déjà, pour une fois que je suis à l'heure ! Nous partons avec un tracé de départ modifié par Franck, une belle réussite avec un très beau passage que je ne connaissais pas et qui vaut le coup avec moins de 10m de portage. Nous enchainons ensuite par mes deux singles. Le premier avec ses devers pleins de racines et de cailloux met un peu d'animation dans le peloton. On entend des "scrouitchhhh" et quelques exclamations, mais dans l'ensemble, le passage est approuvé et apprécié. On y découvre toutes les merveilles de la magnifique forêt de Fontainebleau, passant du tapis de feuilles d'automne à un terrain sablonneux en pinède puis à des amas de rochers. On croirait traverser le temps et les saisons en quelques centaines de mètres, l'impression est assez grisante, j'adore ce passage. Franck nous sort une petite variante "spéciale Remiremont" puis nous grimpons la bosse raide qui nous fait basculer sur le long single roulant vers la tour Dénécourt. Je souffre sur ce terrain ayant du mal à tenir le rythme soutenu imprimé par la tête de course. Nous parvenons en haut de la tour avec un temps qui commence à se couvrir sérieusement et quelques gouttes. On ne s'attarde pas, et c'est reparti par le chemin traditionnel. Je me sens à nouveau plus à l'aise, le terrain redevient plus technique. On enchaine alors par le parcours de Patrick à l'envers, itinéraire que j'avais déjà emprunté dimanche dernier en partie.
Cette fois, on se fait la totale, et c'est amusant comme nous avons du mal à reconnaitre les lieux dans ce sens. Les jambes ne vont pas si mal, mais une belle bosse interminable a vite fait de me calmer. Eric arrache une cale de chaussure au sommet, trop puissant ce garçon. Franck répare, tout le matériel était prévu! Nous sommes maintenant sur la dernière partie du parcours. On passe à l'envers les passages délicats dans l'autre sens. Plus facile, car en descente, mais chaud quand même car les cailloux et racines sont détrempés par la pluie qui tombe sans être trop génante. Je manque de tomber et lâche le cri de détresse de St Michel immédiatement reconnu par Franck. Ce dernier nous trouve encore un single inconnu qui nous emmène au milieu d'un superbe tapis de fougères jusqu'au sommet de la descente des gorges d'Apremont. Une fougère se coince dans mon disque de frein, l'idée de la virer du pied me démange mais l'expérience me rappelle les risques liées à genre de tentative. Je m'étale dans le petit sentier avant la descente, une racine mouillée me jette à terre sans bobo, j'en profite pour virer la fougère. C'est la descente finale puis le retour au parking après 40km et 3h30 de roulage avec 1000m de D+ . Un parcours absolument superbe à refaire, alliant technique, physique et paysages extraordinaires à cette saison.. 20/20 au traceur, bravo et merci Franck.
Cette fois, on se fait la totale, et c'est amusant comme nous avons du mal à reconnaitre les lieux dans ce sens. Les jambes ne vont pas si mal, mais une belle bosse interminable a vite fait de me calmer. Eric arrache une cale de chaussure au sommet, trop puissant ce garçon. Franck répare, tout le matériel était prévu! Nous sommes maintenant sur la dernière partie du parcours. On passe à l'envers les passages délicats dans l'autre sens. Plus facile, car en descente, mais chaud quand même car les cailloux et racines sont détrempés par la pluie qui tombe sans être trop génante. Je manque de tomber et lâche le cri de détresse de St Michel immédiatement reconnu par Franck. Ce dernier nous trouve encore un single inconnu qui nous emmène au milieu d'un superbe tapis de fougères jusqu'au sommet de la descente des gorges d'Apremont. Une fougère se coince dans mon disque de frein, l'idée de la virer du pied me démange mais l'expérience me rappelle les risques liées à genre de tentative. Je m'étale dans le petit sentier avant la descente, une racine mouillée me jette à terre sans bobo, j'en profite pour virer la fougère. C'est la descente finale puis le retour au parking après 40km et 3h30 de roulage avec 1000m de D+ . Un parcours absolument superbe à refaire, alliant technique, physique et paysages extraordinaires à cette saison.. 20/20 au traceur, bravo et merci Franck.
dimanche 7 novembre 2010
Dimanche 07/11/10 : Barbizon
La rando de Lardy était au programme ce dimanche mais les trombes d'eau tombées ces derniers jours et notamment samedi m'ont vite dissuadé. J'ai quelques souvenirs de passages très délicats par temps humide sur cette rando. J'opte donc pour Fontainebleau, refuge hivernal pour les amateurs de terrain toujours praticable. Je prévois d'aller jouer sur un de mes singles favoris, celui découvert l'année dernière avec Benoit qui allie technicité et parcours ludique. Franck me propose d'accompagner la troupe ADP, mais je préfère rouler à mon rythme et je prévois de me lever tôt pour cause de contrainte horaire. Je n'y arrive pas ... et je suis finalement sur place vers 9h15. Du coup, le parcours d'origine n'est plus tenable dans le temps imparti. Je me dis que je couperai le moment venu avec l'aide du GPS. Je retrouve avec plaisir mon chemin secret, toujours aussi sympa et je m'applique à tout passer sur le vélo, ce que je réussi à ma grande satisfaction. Après une dernière montée infernale, je bascule sur le grand single que nous empruntons régulièrement. J'apprécie le GPS car les feuilles mortes et les arbres coupés rendent par endroits la lecture du terrain délicate. Au passage, je suis très content de constater que mon bricolage à base de bandes velcro pour installer le GPS sur le tube diagonal est concluant. Le montage tient parfaitement , le GPS est plus lisible et mieux protégé et surtout, il ne perturbe plus le fonctionnement du compteur sans fil. En arrivant au niveau de la voie ferrée, je shunte la montée vers la tour Dénécourt pour longer la voie ferrée. Alors que j'imaginais rouler sur de grandes allées, je récupère rapidement des chemins très sympas et nouveaux, me voilà tout content de ma découverte. Je navigue en déroutement au cap et à la montre, jetant un oeil rapide sur le GPS. Non seulement il y a des singles, mais je tombe aussi sur quelques bosses bien casse-pattes, je commence à me demander si je vais tenir l'horaire. Mais je n'arrive pas à résister à l'appel des chemins, tentant toujours de mettre mes roues sur le moindre chemin sympa venu ce qui me permet de faire une seconde découverte tip top.Je redescends vers le parking via une voie romaine prise à mach 2 qui me fait pour le coup regretter de ne pas avoir pris le Prophet, j'arrive en bas secoué comme un prunier ! Et me voilà de nouveau à proximité de la N7 puis de retour à Barbizon après 2h20 de roulage bien sympa et quelques bouts de parcours prêts à alimenter de nouveaux itinéraires. Je croise le groupe de Franck en repartant, on en profite pour bavarder 2 minutes. Le temps était parfait sur Fontainebleau et c'est donc avec stupéfaction que je rentre à Savigny sous des trombes d'eau !
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