Un peu la flemme de tracer un parcours à Bleau pour ce dimanche, toujours des semaines épuisantes au boulot. J'opte donc pour la Grangeoise, une rando dont je garde de bons souvenirs et où je n'étais plus revenu depuis 2011. Beaucoup de vacanciers en cette période de Toussaint. Pat et Hervé sont partants, on se donne rendez-vous à 8h15 aux inscriptions. Beaucoup de monde en arrivant aux Granges le Roi, j'ai du mal à me garer et j'arrive avec 5 minutes de retard. Inscription rapide pour 4€ sur le 62km, tarif ultra compétitif. Je fais connaissance de Fabrice, un collègue de Saint-Michel qui partira avec nous. Du brouillard assez dense pour cette matinée d'automne. Le résultat est rapidement catastrophique avec mes lunettes, et je vais passer toute la première partie du parcours à naviguer dans le flou. Heureusement, le fléchage est absolument parfait avec des pancartes jaunes très visibles et judicieusement placées. Fabrice souffre un peu mais s'accroche. Pour quelqu'un qui n'a pas roulé depuis longtemps c'est impressionnant. Pat peste contre la météo, tout ce qu'il déteste. Mais ça ne l’empêche pas d'envoyer du lourd, il prend un peu d'avance avant le premier ravito au km 17. Pendant ce temps, Hervé se bat dans les parties boueuses avec son 26" et ses Cobra qui ne sont pas à la fête sur ce terrain. Il revient sur moi juste avant le ravito et Fabrice arrive peu après. Nous repartons rapidement, Fabrice préfère rouler seul sur le 50. Beaucoup de grands chemins sur cette seconde partie, la moyenne dépasse désormais les 19 km/h. Je suis étonné du nombre de fat bikes sur les chemins, manifestement, le phénomène prend de l'ampleur. J'en emprunterais bien un pour essayer à Bleau :-) . Pas beaucoup de singles en vue, on arrive au ravito 2 au km 31. Nous sommes au bord de l'autoroute, donc un passage sympa nous attend à la sortie du ravito. Je préviens Hervé du petit talus à monter, mais le sol est sec ici, donc aucun souci pour grimper ( j'ai des souvenirs de passages autrement délicats ici ) . Nous voici donc sur le fameux single de l'autoroute qu'on enquille tambour battant, sympa mais je réalise qu'à force d'aller rouler dans des endroits magiques, il parait plus fade que dans mon souvenir. A la sortie, une boucle spécifique au 62 sans grand intérêt à part ajouter de la distance. On y dépasse le club d'Itteville où Pat salue une connaissance. Ca lui donne des ailes, le voilà qui accélère à la sortie d'un passage type Fontainebleau. Il faut s'accrocher derrière, mais on arrive au ravito 3 au km 47. De mémoire la dernière partie est la plus ludique. Quelques beaux passages après le ravito, puis retour sur les chemins. J'ai du mal à accrocher la roue de mes deux camarades qui ont mis le turbo, on frôle les 20 de moyenne maintenant, un saut de chaîne me condamne mais je repars plein gaz, sans pouvoir combler le trou. Encore du roulant, avant d'arriver sur la partie la plus sympa mais aussi la plus dure du parcours. Enfin des singles et des bosses raides, dont une qui me rappelle des souvenirs. Le 32 devant se fait sentir après les efforts pour recoller et je finis à la limite des crampes. Je récupère un peu derrière puis repars pour un final très ludique qui se termine par une dernière bosse avant de rejoindre l'arrivée . 61,5km et 3h17 de roulage pour 1005 m de D+. Bigre, j'avais mis 4h en 2011 avec notre OliVTTiste qui venait de rejoindre le club. Il semblerait qu'on ait fait quelques progrès ces derniers temps :-) .
dimanche 26 octobre 2014
dimanche 19 octobre 2014
Dimanche 19/10/14 : le Toboggan Meudonnais
Huîtres et vin blanc aux ravitos ! |
dimanche 12 octobre 2014
Dimanche 12/10/14 : Choisel
Quelques hésitations au vue de la météo de la semaine et du terrain de la vallée de Chevreuse qui n'aime pas trop l'eau. Finalement, on opte pour Choisel. Du beau monde au départ : Pédalator, Bastien, David, Hervé, Seb, Patrick et moi . Départ rapide dans la montée du château de Breteuil, je ne suis pas loin de sauter mais je m'accroche et parviens à recoller les roues des leaders au sommet. Je tiendrai 8km, déjà pas mal :-) . Dans un single, nous sommes ralentis avec Hervé par un concurrent moins rapide mais difficile à doubler. A la sortie, impossible de boucher les 200m qui manquent. On relâche un peu le rythme et Patrick et Seb reviennent. Nous voilà à quatre. On passe un tronçon abominable ravagé par les engins forestiers. Obligés de passer à pieds sur quelques cms de terre, la montée qui suit est terrible, le sol scotche le vélo. Je m'arrête pour enlever le coupe vent, je suis en train de cuire. Nous loupons une boucle ensuite, plus de balisage visible. On continue tout droit alors qu'il fallait prendre à droite. Du coup, nous arrivons au ravito 1 avant Pedalator, Bastien et David. Cela nous permet de repartir ensembles. Le rythme est élevé et les relances de JM font mal aux jambes. Nous sommes un peu décrochés avec Hervé et Seb. Dans le single des 17 tournants, mon pneu ripe sur une racine et je me couche sur le côté, pas de bobo mas j'ai perdu du terrain.Avec la boue, la pluie qui n'était pas prévue au programme et la semaine difficile au boulot, j'ai une baisse de motivation et je débranche un peu le turbo en me disant que je serais bien mieux à Bleau. Le parcours devient plus sympa , avec un enchaînement de petits raidars dont un que je n'avais pas pris depuis longtemps, qui suit une descente dans une cuvette pour remonter droit dans la pente avec sable et racines. Le Cube fait merveille et je passe sans souci, ça me rebooste, mode turbo rallumé, j'arrive au ravito , Patrick et Hervé sont là mais pas de Seb. Patrick a réussi à suivre le groupe de JM jusqu'au ravito, chapeau ! On attend Seb, il a disparu mystérieusement, on suppose qu'il a fait une erreur de parcours. En fait, il a été victime d'une double crevaison, mais sans que je comprenne pourquoi je ne l'ai pas vu. Mystère. On repart sur un rythme raisonnable, mais ça ne dure pas, deux gars de Veloxygène nous passent, on embraye derrière. Dans les Vaux de Cernay, Patrick prend feu et mène un train d'enfer. J'ai du mal à suivre, je m'accroche de mon mieux quelques mètres derrière avec le cardio qui me dit que je suis presque à fond. On se regroupe au pied de la bosse finale, je donne tout dans la montée, dur dur car je n'ai pas complètement récupéré de l'effort précédent. Le sol est collant, on ne battra notre record sur Strava aujourd'hui même si le temps au sommet reste honorable. Il reste le single au sommet, extra boueux et glissant, puis c'est la descente finale et l'arrivée au bout de 54,2 km et 2h57 de roulage au GPS.
dimanche 5 octobre 2014
Dimanche 05/10/14 : de l'Yvette à l'Orge
jeudi 2 octobre 2014
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