dimanche 12 septembre 2010
Samedi 11/09/10 : la Nuit de l'Orge version club
Notre président avait proposé une soirée club ce samedi, histoire de finir les bouteilles de Bourgueil ramenées de la Pente et Côte. Au menu Bourgueil et pizzas et ensuite, remake de la Nuit de l'Orge pour que tout le monde puisse profiter du parcours. Hélas, semaine difficile et soucis personnels m'avaient conduit à renoncer à la soirée. Sauf que le destin est parfois capricieux. Ma fille Julie qui est rentrée en seconde version Arts Appliqués a une nouvelle copine de classe. Et devinez qui c'est ? Alycia, la fille de notre président. Et si ! Donc vendredi soir en rentrant à la maison, ultimatum incontournable : il FAUT aller à la soirée. Le samedi était déjà chargé, il se transforme en course contre la montre. C'est qu'il faut trouver rapidement de quoi équiper les vélos des enfants pour rouler en sécurité la nuit. Je fonce à Decathlon, puis séance montage et vérification des vélos pendant que je mets en charge mon kit d'éclairage nocturne. Madame préfère rester à la maison, donc nous partons vers 19h avec Julie et Nicolas direction la piscine de St Michel. Je suis un peu lessivé ... Mais à peine arrivés, le miracle opère, à moins que ce ne soit l'apero ... En tout cas, cela fait plaisir de retrouver tous les copains et notamment Jérome qu'on n'a pas beaucoup vu depuis qu'il préparait le triathlon "IronMan" d'Embrun. Il a réussi son objectif, ce fut dur, mais la satisfaction est à la hauteur de l'effort. Respect. Je tente de motiver un maximum de monde pour la rando du Bon St Arnoult le lendemain. Ludo et Stéphane sont partants, Michel a des soucis de vélo et Jérome et Rolland semblent avoir une préférence pour Maisse. Jérome ira jusqu'à évoquer un motif fallacieux de tarif de la rando ( 5€ faut pas pousser ), le fantôme de Benoit rigole. Après un repas vite expédié, nous partons à 45(!) sur le parcours de la Nuit de l'Orge. Les enfants sont aux anges et tout contents de rouler de nuit. Au bout d'1km, une crevaison de ... Julie. La première depuis qu'elle fait du vélo, pas de chance. Et là, je découvre que la roue arrière est fixée par un écrou de 15 et non une attache rapide. Oups ! Heureusement, on arrive à réparer la chambre sans la sortir complétement avec une rustine. C'est reparti, mais quelques mètres plus loin c'est Olivier qui crève. Nouvelle réparation, la mécanique nous laissera désormais tranquille. Pas évident de gérer un peloton aussi nombreux, les arrêts sont fréquents et la moyenne inavouable. Mais le plaisir est là et nous rentrons vers minuit enchantés à la maison.
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