Le Roc Trespouzien approche. Pas de rando au programme de ce dimanche, c'est l'occasion de faire le remake de la Nez de Boeuf, attendu par Patrick et Bastien. Pas trop de volontaires, nous serons cinq au départ avec Olivier et Benoit. A la demande générale, j'ai un peu corsé le parcours, rallongé de presque 10km pour faire un bon petit raid, au départ de Milly, plus facile et rapide d'accès. Bastien décide de poser sa voiture au milieu du parcours pour se ravitailler en eau. Il ne transporte pas d'eau dans le camel pour cause de dos sensible. Il nous rejoindra à vélo par la route. Pour rire, je lui suggère d'amener aussi un pack de bière , tant qu'on y est :-) Craignant de ne pas me réveiller avec le changement d'heure, je place plusieurs réveils sur la table de nuit. Ma forme est souvent liée à une bonne nuit de sommeil, donc je n'aime pas ce dernier week-end de mars. Mais bon, je me lève quand même, voilà une bonne chose de faite ! Je récupère Benoit, et nous prenons le chemin du parking Daregal où nous arrivons pile à l'heure ( si, si ) . Patrick et Olivier sont déjà là, on se prépare et Bastien arrive. Nous voilà donc partis pour une sortie évaluée à 5h de roulage. Le terrain est bien sec, il fait un peu frisquet à cette heure matinale. La météo s'annonçant clémente, j'ai sorti la tenue KHS91 avec un coupe vent et jambières/manchettes le temps que ça se réchauffe. On attaque par la belle bosse à la sortie de Moigny. Oups, elle fait mal aux jambes à froid. Je me ressens de la sortie de jeudi où j'ai bien appuyé, et les jambes tirent un peu ce matin. Je me dis que je vais surement souffrir, mais c'est le but en cette période de préparation. Nous voilà en haut, on serpente dans le bois de Malabri, un endroit toujours bien agréable. Le soleil commence à briller, on a de la chance d'être là. On traverse le Bois de Milly, et nous voilà dans la zone des carrières. Très beau paysage. Petit pause ravito, j'en profite pour passer en tenue courte, mais je garde les manchettes, il ne fait pas super chaud. Finalement les jambes ne vont pas si mal ,au fur et à mesure du parcours elles fonctionnent de mieux en mieux. Benoit nous inquiète, il a très mal au dos, et souffre sur son vélo. Il va continuer courageusement avec nous, mais sans son punch habituel.
Nous nous rapprochons de Maisse, joli passage le long de l'Essonne, avant de rejoindre la zone de départ de la rando avec une belle grimpette à la clef pour monter en haut du coteau. Nous arrivons dans la zone ludique du parcours, Rocher Poirier et Bois de Saint Médard nous offrent de très beaux enchaînements et un petit défi sur une grimpette bien raide que seul Bastien et moi parviendrons à dompter. Belle séquence de montagnes russes à la clef, on entend un gros bruit, c'est Olivier qui a raté une remontée bien raide et fait une cabriole. Pas évident de suivre la trace GPS dans cette zone qui regorge de chemins, c'était plus facile avec le balisage le jour de l'épreuve ! Encore un passage tip top du coté du Rocher de Chatillon, une zone "chamoisesque" qui inspire Bastien. On finit tous par se perdre plus ou moins dans le dédale de sentiers qui se croisent dans tous les sens, finalement regroupement général à la sortie. Nous ne sommes plus loin du Pressoir où se situe la voiture de Bastien.
On stoppe devant la Bastmobile, ravitaillement en eau ... et voilà Bast qui nous sort une glacière remplie de bières ! Enorme ! Il m'a pris au mot. Patrick, expert en diététique, préfère éviter l'alcool en plein milieu de la sortie. Il s'attaque à son dérailleur, la chaîne se bloque régulièrement derrière le galet inférieur, chose assez inexplicable. Olivier le dissuade in extremis de tenter de tordre la chape carbone, ça ne plie pas ces trucs là ! Pendant ce temps, nous sirotons une bonne Leffe fraîche. Le pied ! Merci Bastien :-) Nous quittons le ravito à regret mais c'est à ce moment que je réalise que le "régime Benoit" fonctionne redoutablement bien. Plus du tout mal aux jambes. Je vais littéralement voler sur les 20 derniers kms, les jambes tournent toutes seules, et à plusieurs reprises, je me fais plaisir en remontant sans effort toute la file. Je parviens même à passer Bastien en haut d'une bosse. Désormais, c'est décidé, le camel sera rempli de Leffe. Il nous reste deux beaux passages dans le Bois de Débat puis dans le Bois de la Chapelle Saint Anne. Ca tournicote, ça monte et ça descend, je profite en maximum de ce passage en relançant régulièrement, sensations au top, c'est un grand moment de plaisir. Nous sortons de la forêt pour rejoindre Courance. Olivier tente une attaque devant le château, je descend 2 pignons et sprinte. Au sommet, Patrick revient, mais on réalise que ne sommes plus que tous les deux. Plus de batterie sur le GPS, impossible de retrouver la trace, personne en vue, on décide de rentrer par la route de Milly facile à identifier. Retour aux voitures après 5h10 de roulage, 72,2 km, 1330m de D+ où nous retrouvons toute l'équipe. Une sortie bien agréable avec un temps printanier malgré quelques micro-gouttes par instant.
dimanche 30 mars 2014
jeudi 27 mars 2014
Jeudi 27/03/14 : Saint-Germain
dimanche 23 mars 2014
Dimanche 23/03/14 : Montlhery-Marcoussis-Saulx
dimanche 16 mars 2014
Dimanche 16/03/14 : Cerny
Pendant que les chamois optent pour une sortie ultra technique à Bleau, nous choisissons la rando Val d'Essonne à Cerny, un classique de la région dont je garde de bons souvenirs. Benoit, Patrick, Stéphane sont partants pour le 70km pendant qu'une belle équipe de St Michel se lance sur le 50 et que nous avons le plaisir de croiser Roland et Jacques sur le parking. Seb est HS, grippé. Même tenue que la semaine dernière au départ, la météo s'annonce ensoleillée et chaude, et il faut pouvoir enlever des couches en cours de route. Nous partons vers 8h15, les premiers kms sont identiques aux années précédentes. La suite est moins connue mais aussi bien plus roulante que je ne l'imaginais. Nous arrivons au premier ravito au km 15 en largement moins d'une heure. L'endroit est désert et la table particulièrement bien fournie, il y a même du saucisson, mauvais pour mon régime mais excellent pour le moral :-) . On ne s'attarde pas et nous repartons rapidement. C'est le bon terme, parce-que la moyenne est très inhabituelle après plusieurs mois à faire de la technique à 10km/h à Bleau ! Mon monoplateau de 30 dents est vraiment limite sur un parcours pareil et je suis à fond en permanence en cadence de pédalage avec le compteur qui dépasse régulièrement les 30 km/h. Le terrain est sec, le rendement excellent, pas le moindre single à se mettre sous la dent, pas une racine et encore moins de rochers. J'ai les cuisses en feu et je me dis que j'aurais du prendre l'AF1 équipée d'un 42x28 qui me serait bien utile pour suivre Stéphane qui envoie du lourd depuis le début. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, nous voilà au ravito 2 situé à 30km du départ. Nous avons rejoint le parcours commun, il y a plus de monde. Plus de 20km/h de moyenne au GPS. Ravito rapide, et nous voilà repartis pour une séance de manivelles. J'ai mal aux jambes à force de mouliner et à la faveur d'un single ( enfin ! ) où ça bouchonne un peu, je me fais distancer par mes petits camarades. Pas grave, j'en profite pour couper un peu le turbo et laisser refroidir la machine, mon objectif c'est de faire les 20 derniers kms à fond et je me dis qu'ils font payer leurs efforts :-) . Je retrouve rapidement Benoit et Patrick, ils aident Roland qu'ils ont retrouvé sur le parcours à réparer une crevaison. Nous voilà à nouveau ensemble, sauf Stéphane parti à l'avant. Benoit et Patrick reprennent un gros rythme, je suis à quelques encablures, toujours un peu mal aux gambettes, je rêve d'un gros plateau :-) . Petit à petit, je retrouve un bon rythme et j'appuie à nouveau bien fort pour rejoindre l'avant-garde. Malheureusement, à force de foncer le nez dans le guidon, je loupe une bifurcation à droite dans une descente rapide ( le panneau n'était pas visible sur la trajectoire ) , manque de me prendre un 4x4 qui remontait dans les bois, puis il me semble reconnaître un passage. Un coup d'oeil sur le GPS, zut, je suis en train de refaire la boucle, demi-tour, je remonte toute la pente et voit la bonne trace qui me mène au ravito où m'attend Benoit. Je vire les jambières et les manches de la veste. Me voilà en tenue estivale, il fait beau, chaud, il manque juste des singles . La dernière partie est sympa sur les premiers kms, avec quelques beaux passages. Un panneau "prudence, descente" . Je baisse la selle télescopique et me prépare à montrer les progrès techniques de l'hiver. Peine perdue, on se demande pourquoi le panneau est là, juste une descente banale et pas spécialement pentue, bizarre. Nous arrivons sur la partie finale, on file grand train depuis le ravito mais j'en rajoute une couche, les jambes sont complètement revenues. Benoit accuse un peu le coup derrière, vais-je décrocher le Benoilator ? Je relance à fond dans les virages, nous rejoignons un gars avec un vélo titane et des roues dorées. Il enclenche le turbo, ça avoine fort. Je tente de le passer, il repasse, on laisse sur place tout ce qui roule autour de nous. Je manque de percuter mon lièvre lorsqu'il tourne in extremis à droite, freinage d'urgence dans un nuage de poussière, Benoit en profite pour repasser et c'est reparti à fond jusqu'à l'arrivée rejointe au bout de 69,1 km, 3h41 de roulage et 1100m de D+. Une rando ultra roulante comme nous n'en avions plus fait depuis longtemps, parcours vraiment peu ludique mais un bon entraînement en rythme, donc nous sommes content de la matinée . Super organisation et super ravitos, il manquait juste quelques singles de plus , des montées impossibles, des descentes techniques, quelques rochers à grimper et des dalles à descendre. Presque rien, somme toute .
dimanche 9 mars 2014
Dimanche 09/03/2014 : Saint-Fargeau
Le retour du beau temps nous incite à tenter de changer de terrain. Il y a le Roc Trespouzien à préparer et il est temps de mettre un peu le technique de côté au profit de sorties physiquement plus exigeantes. J'imagine un remake de la Nez de Boeuf 2013 dont je garde un super souvenir, mais Patrick ne pouvant nous accompagner ce dimanche, nous décidons de finalement aller à Nainville avec deux départs : le premier depuis Saint-Fargeau pour ajouter un peu de distance et de roulant, le second depuis le parking du Bois du Cimetière. Petit moment de réflexion pour savoir comme s'habiller. Le problème n'est pas simple : 4°C au départ, mais certainement plus de 20°C au soleil lorsqu'il commencera à chauffer. J'opte pour les jambières, avec une veste à manches amovibles et je remplis le camel à ras bord car je prévois d'avoir chaud, le parcours étant physique. Nous arrivons un peu en retard au point de rendez-vous, Benoit ayant été surpris de me voir arriver si tôt :-) . Nous avons toutes les options ce matin, le record pour Seb qui arbore un anorak de ski ou presque ! L'invitation a eu du succès , Bastien, Seb, Michel, Olivier sont là ainsi qu'Hervé qui commence sa préparation Granit, sans David aujourd'hui. Xav, Alain et Salvatore nous attendent à l'autre point de regroupement. Nous prenons le départ sur un rythme tranquille, le temps de laisser chauffer les gambettes. Le terrain est très correct mais humide avec la rosée du matin. Nous rejoignons nos camarades en un peu plus d'une demi-heure, et un peu de jardinage, le GPS d'Olivier ayant quelques difficultés à se recaler, on a improvisé un passage freeride involontaire. Toute l'équipe est maintenant réunie pour attaquer la grosse montée qui part du parking. Bastien et Xav sautent sur tous les rochers qui passent à leur portée, je leur emboîte le pas, il ne faut pas perdre notre nouvelle dextérité ! Avec ce beau temps, je me sens en pleine forme, rien à voir avec la semaine dernière. Le chemin est bien plus creusé et raviné que dans mon souvenir, surement une conséquence des pluies à répétition et il faut se concentrer pour passer sans poser le pied. Nous rejoignons ensuite rapidement la fameuse "descente du GPS" non sans qu'Olivier nous ait gratifié d'une belle chute sur le plat, la faute à une souche qui a tapé une pédale. Le départ de la descente est un vrai chantier avec des arbres partout. On se faufile, elle semble plus facile que dans mon souvenir, le travail technique de l'hiver porte des fruits. Petite descente "granitesque" pour l'entraînement d'Hervé qui découvrira l'épreuve cette année. Nous enchaînons ensuite de beaux passages ludiques sur les hauteurs de Ballancourt. Le terrain bien sec et la luminosité matinale sont un vrai bonheur, tout le monde apprécie. Bastien, Xav et Alain jouent aux chamois explorateurs, et on finit par perdre des morceaux du groupe, moment que choisit Seb pour crever après un contact entre nos vélos lorsque je bute sur une souche en haut d'un passage technique.
On finit par récupérer tout le monde grâce à cet arrêt. On enlève quelques couches, il fait maintenant bien chaud. Je vire les manches de la veste, ça fait du bien. Je m'inquiète pour l'eau, je vais devoir gérer toute la sortie, plus l'habitude de cette température et ça donne soif ! Ca se complique ensuite , sur les hauteurs de Mondeville, le terrain devient d'un coup humide et franchement boueux au point de bloquer ma roue avant par accumulation dans le passage de roue sous la fourche. Alain peste contre ce terrain, et sans trop qu'on comprenne comment, on va perdre un bout de l'équipe : Michel, Bastien, Alain et Salvatore. On aura beau attendre, personne à l'horizon, le téléphone ne passe pas et l'heure tournant, on continue. Nous les retrouverons heureusement à l'arrivée, ils ont coupé après que Salvatore ait eu un petit coup de pompe. Quelques passages roulants où nous poussons bien sur les pédales avec Benoit. Pas de trace de fatigue dans les gambettes, un régal, je peux relancer tout le temps. J'en garde un peu sous la pédale en prévision du sprint final. Nous arrivons dans le Bois de Videlles. Un haut lieu du VTT en Essonne avec de beaux paysages , des chemins au top mais aussi des montées/descentes bien raides à répétition. Je parviens à passer les marches en haut de la première montée, grosse satisfaction. Notre Benoilator envoie généreusement dans les bosses, mais aujourd'hui, j'arrive à garder à contact, méditant de traîtres attaques que j'hésite quand même à lancer :-) Seb enlève encore quelques-unes des 200 couches qu'il avait au départ. Faudra viser un équipement plus léger pour la Granit. Je termine la montée du Saut du Postillon en tête, là encore, les pluies ont bien raviné le passage et il a vraiment fallu batailler pour franchir sur le vélo la première partie. Nous traversons le Bois des Fontaines, dernière difficulté du parcours. On y croise deux petits gamins qui font un château de sable sur le chemin puis quelques kilomètres plus loin leur maman qui les cherchait. Benoit lui montre le chemin sur son GPS. Retour le long de l'Ecole avec un chemin ultra gluant qui nous use bien pour finir. Seb qui donnait pourtant des signes de fatigue après une semaine de roulage intensif retrouve un second souffle et mène grand train, nous finirons ensemble. Arrivée à la voiture après 4h50 de roulage, 64,5km et 1025m de D+ au GPS. Une sortie bien agréable malgré les quelques passages boueux, Nainville reste un super terrain de jeux.
On finit par récupérer tout le monde grâce à cet arrêt. On enlève quelques couches, il fait maintenant bien chaud. Je vire les manches de la veste, ça fait du bien. Je m'inquiète pour l'eau, je vais devoir gérer toute la sortie, plus l'habitude de cette température et ça donne soif ! Ca se complique ensuite , sur les hauteurs de Mondeville, le terrain devient d'un coup humide et franchement boueux au point de bloquer ma roue avant par accumulation dans le passage de roue sous la fourche. Alain peste contre ce terrain, et sans trop qu'on comprenne comment, on va perdre un bout de l'équipe : Michel, Bastien, Alain et Salvatore. On aura beau attendre, personne à l'horizon, le téléphone ne passe pas et l'heure tournant, on continue. Nous les retrouverons heureusement à l'arrivée, ils ont coupé après que Salvatore ait eu un petit coup de pompe. Quelques passages roulants où nous poussons bien sur les pédales avec Benoit. Pas de trace de fatigue dans les gambettes, un régal, je peux relancer tout le temps. J'en garde un peu sous la pédale en prévision du sprint final. Nous arrivons dans le Bois de Videlles. Un haut lieu du VTT en Essonne avec de beaux paysages , des chemins au top mais aussi des montées/descentes bien raides à répétition. Je parviens à passer les marches en haut de la première montée, grosse satisfaction. Notre Benoilator envoie généreusement dans les bosses, mais aujourd'hui, j'arrive à garder à contact, méditant de traîtres attaques que j'hésite quand même à lancer :-) Seb enlève encore quelques-unes des 200 couches qu'il avait au départ. Faudra viser un équipement plus léger pour la Granit. Je termine la montée du Saut du Postillon en tête, là encore, les pluies ont bien raviné le passage et il a vraiment fallu batailler pour franchir sur le vélo la première partie. Nous traversons le Bois des Fontaines, dernière difficulté du parcours. On y croise deux petits gamins qui font un château de sable sur le chemin puis quelques kilomètres plus loin leur maman qui les cherchait. Benoit lui montre le chemin sur son GPS. Retour le long de l'Ecole avec un chemin ultra gluant qui nous use bien pour finir. Seb qui donnait pourtant des signes de fatigue après une semaine de roulage intensif retrouve un second souffle et mène grand train, nous finirons ensemble. Arrivée à la voiture après 4h50 de roulage, 64,5km et 1025m de D+ au GPS. Une sortie bien agréable malgré les quelques passages boueux, Nainville reste un super terrain de jeux.
dimanche 2 mars 2014
Dimanche 02/03/14 : Les Trois Pignons, bis
Une nouvelle boucle nous amène au Laris qui Parle, vue et paysage superbes. Bastien a prévu une variante avec une descente technique qui me fait me coucher sous le vélo, j'ai regardé fixement un caillou qui m'inquiétait et comme il se doit foncé droit dedans ! La remontée derrière fait mal aux jambes mais on est récompensés par le belle descente de la Canche aux Merciers. Ca devient vraiment dur pour moi à ce moment, et après la dernière ascension redoutable qui nous mène dur les dernièers platières, je décide de couper les derniers kilomètres pour rentrer à la voiture. Sur la carte, c'est tout droit, mais dans un chemin infernal défoncés par les engins forestiers. J'arrive lessivé à la voiture après 53km et 950m de D+ et 4h35 de roulage. Une sortie superbe, un peu ambitieuse pour une reprise mais beaucoup de plaisir quand même. Le temps de ranger le vélo dans la voiture et de manger une barre bienvenue et Bastien, Olivier, Alain et Benoit arrivent. Le retour à la maison s'avère difficile avec un énorme bouchon sur l'A6 , bison futé s'est un peu loupé sur le coté "vert" de la journée .
Inscription à :
Articles (Atom)