dimanche 2 septembre 2012

Dimanche 02/09/2012 : la Ballancourtoise

Après deux jours catastrophe coté mécanique, je comptais bien me refaire le moral avec le beau parcours 70km de la Ballacourtoise. Vendredi après-midi, 1/2 journée de RTT pour profiter du beau temps et un petit vol vers Dieppe avec deux amis où on teste la location de vélos mise sur place depuis quelques semaines. Superbe après-midi, et petit entraînement car il faut monter pendant plusieurs km pour revenir de la ville vers l'aérodrome. On démarre l'avion pour faire le plein sans souci mais par un malencontreux coup du sort, le démarreur décide subitement de rendre l'âme au redémarrage. Et évidemment, ça tombe sur notre DR400 Ecoflyer à moteur turbodiesel, le seul qu'on ne puisse pas démarrer à la main . Trop tard pour faire venir le mécano du club, donc retour en train. Le samedi, je vérifie que les freins du FS120 sont toujours ok après les déboires de dimanche dernier et le changement de pistons. Tout va bien, ça freine d'enfer. Le foutu amorto Monarch à valve orientable à encore perdu de la pression justement par la vis de la valve qui se desserre tout le temps. Je sors la clef pour donner un tour et paf, vis pétée dans le corps de l'amorto. Et merde ... Bon, j'ai un amorto de secours, je le monte, je règle, ça devrait être ok. Nous arrivons avec Benoit vers 7h40 aux inscriptions suite à un petit détour pour cause de travaux sur la route. On retrouve Stéphane G., Xavier et Giovanni. Olipic arrive à la bourre, on part vers 7h55 laissant Marco attendre le reste des furieux de Wissous, ils nous rattraperont sans aucun doute. Le début du parcours est superbe avec un nouveau single qu'on ne connaissait pas. La suite est à l'avenant, c'est ludique, physique et technique. Seul petit problème, il y a des boucles et des flèches partout et je finis par faire une erreur de navigation en suivant le concurrent devant moi qui nous ramène ... au départ. Il fallait tourner à droite au lieu de gauche, mais les deux cotés étaient balisés, risque de confusion assuré. Je repars dans l'autre sens avec une montée bien féroce dans le sable et les cailloux. Le parcours est vraiment superbe, je m'amuse bien, et retrouve tout le monde au ravito que j'atteins après 25km avec mon détour. Un petit coup de gâteau aux raisins, et on repart. Dans un virage en montée, j'entends le pneu frotter. Sur quoi ? Une base ? Ouh là, ça me rappelle des mauvais souvenirs. Arrêt pour vérifier, le cadre semble ok, je continue. On retrouve Benoit qui a crevé. Réparation rapide, mais dans la descente qui suit, la trajectoire du FS120 est incertaine. Puis on arrive sur un single bien sinueux et à chaque virage en appui, le bruit se reproduit. Je regarde ma roue et la voit bouger latéralement, il y a forcément un problème. En la poussant, je découvre la catastrophe : la base inférieure droite est cassée au niveau de la soudure. On ne voit rien à l'arrêt mais dès qu'on pousse la roue, tout le bras vient avec. La cassure est située à quelques cms de l'endroit où j'avais déjà eu le problème au printemps. Cette fois, je peux rouler car la partie cassée appuie vers le haut ce qui joint naturellement les deux bouts tant qu'on roule droit. Un petit coup d'oeil sur Google Map, il y a une route pas loin. J'abandonne mes camarades après 40km et retour par le route. Je retrouve les participants du 50 à l'arrivée où le compteur affiche 59km. Marco et sa bande sont là , tout comme Jacques, Roland et Ludo.  Moral pas au top après toute cette série de la semaine. Le cadre est surement réparable et toujours garanti mais la confiance n'est plus là. Remontage du Kern en perspective et projet 29" de plus en plus d'actualité ...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Tiens les rois de la pouasse. Y'a un prix de groupe pour se faire exorciser ?
Moi casse du turbo avec toute la famille sur l'autoroute !!!
Franck un ex cycliste