Heureusement que nous sommes dans les bois, car le vent est par moment très fort. 2ème ravito, Pat me dit avoir aperçu ... Alain. Sur cette dernière partie, où quelques beaux passages en single très fluides viennent mettre un peu de piment dans la sortie, je perds Pat, en ratant une bifurc. Il faut dire que si le balisage était parfait, les panneaux noirs du parcours 70k n'étaient pas toujours faciles à voir à pleine vitesse. Je me doute de mon erreur tout en étant perplexe car je retrouve le balisage du 70k quelques mètres plus loin. Un concurrent vient à ma hauteur, et j'ai le plaisir de saluer Alain qui était bien là ! On se réjouit à l'avance du terrain bien sec qui nous attend pour la Ballancourtoise dimanche prochain. Je rejoins l'arrivée au bout de 64km et 3h23 de roulage pour 1070m de D+, suivi par Patrick quelques minutes plus tard qui a fait une petite boucle de plus. Une sortie météorique à 19 de moyenne, mais que j'ai bien aimé, aidé par une météo enfin de notre côté et des jambes finalement tout à fait opérationnelles.
dimanche 31 août 2014
Dimanche 31/08/14 : d'Huison Longueville
Heureusement que nous sommes dans les bois, car le vent est par moment très fort. 2ème ravito, Pat me dit avoir aperçu ... Alain. Sur cette dernière partie, où quelques beaux passages en single très fluides viennent mettre un peu de piment dans la sortie, je perds Pat, en ratant une bifurc. Il faut dire que si le balisage était parfait, les panneaux noirs du parcours 70k n'étaient pas toujours faciles à voir à pleine vitesse. Je me doute de mon erreur tout en étant perplexe car je retrouve le balisage du 70k quelques mètres plus loin. Un concurrent vient à ma hauteur, et j'ai le plaisir de saluer Alain qui était bien là ! On se réjouit à l'avance du terrain bien sec qui nous attend pour la Ballancourtoise dimanche prochain. Je rejoins l'arrivée au bout de 64km et 3h23 de roulage pour 1070m de D+, suivi par Patrick quelques minutes plus tard qui a fait une petite boucle de plus. Une sortie météorique à 19 de moyenne, mais que j'ai bien aimé, aidé par une météo enfin de notre côté et des jambes finalement tout à fait opérationnelles.
samedi 30 août 2014
Vendredi 29/08/14 : petit tour autour de Poissy
A la recherche d'un parcours d'environ 1 heure que je puisse faire régulièrement entre midi et deux avec le Viper, je pars en reconnaissance à la sortie du bureau. Un monde fou dans les rues en cette fin de vendredi, j'ai du mal à passer entre les voitures même avec le vélo. Enfin sorti, je grimpe la côte en direction de Plaisir, jambes pas au top avec le virus qui fait toujours des siennes. Je bifurque ensuite pour voir le site des "grandes oreilles" depuis le sol, sachant qu'il se situe juste après la sortie nord de Saint-Cyr en avion. Ca parait beaucoup plus imposant vu du sol ! Retour au point de départ sur un circuit assez varié et sympa.
dimanche 24 août 2014
Dimanche 24/08/14 : Chevreuse dark side
Un petit mail de Franck samedi pour m'inviter à l'accompagner sur une belle sortie route. Pas beaucoup de vététistes opérationnels ce dimanche, je me dis que c'est l'occasion ou jamais d'autant que Pat est partant aussi, ayant une contrainte horaire qu'un départ de Savigny arrange bien. Le souci, c'est le virus, mais le petit test concluant en fin d'après-midi me rassure et je confirme ma présence à Dark Franckor, prince du coté obscur du vélo. Rendez-vous est pris devant chez lui à 8h30. Petite révision du Viper dans la soirée, j'en profite pour remettre la cassette 11-25 plus adaptée à la région parisienne que la 12-30 que j'avais installée pour les cols du Pays Basque. La nuit est mauvaise : le virus reprend du poil de la bête, quintes de toux épuisantes en soirée, mal de gorge abominable toute la nuit. Je me réveille en sueur à 3h du matin, je sais que je ne pourrai pas rouler, vraiment pas de chance. Je finis par me rendormir, et quand le réveil sonne, je me sens beaucoup mieux. Petit miracle. Est-ce raisonnable dans cet état d'aller affronter la bande des féroces rouleurs de l'AAOC ? J'en doute un peu, mais bon, soyons fous ! Je me prépare, rempli les bidons ( et oui .. .le camel ça fait pas sérieux sur la route :-) ), enfile un coupe vent vu la température frisquette, et me voilà parti. 8h30, je suis sur place où je trouve un sacré comité d'accueil : Franck, Eric, Yann, Bruno, Pat et Michel d'ADP . Nous voilà partis, ça roule tranquille, ouf, je suis un peu rassuré. Nous prenons la direction de Villejust. Tout le monde me donne des conseils sur la technique du routier : comment prendre une roue, où me placer. Ma position redressée ( j'ai changé la potence pour retrouver ma position VTT ) suscite de nombreux commentaires, pas efficace aérodynamiquement m'explique Eric et en route, ça compte. Jean-Luc s'inquiète de mon allure "crapeau" et suggère de rallonger la potence et reculer la selle. Ils ont l'oeil mes amis du jour puisque justement j'ai raccourci la potence et avancé la selle, je suis bluffé que ça soit aussi visible ! Mais il faut que je m'habitue à cet étrange vélo, déjà comme ça, j'ai l'impression d'avoir le nez sur la roue !
Eric accélère le tempo dans la montée de Villejust, je sens les effets du virus avec un manque de force dans les jambes et un souffle un peu court, mais c'est gérable et je parviens à suivre. Au sommet, nous retrouvons Jean-Luc qui va être notre guide pour le reste du parcours et aussi un sacré dynamiteur de paquet, il a la caisse le garçon ! Me voilà dans le petit peloton, l'effet d'aspiration permettant de rouler à plus de 35km/h sans gros effort, c'est vraiment une sensation étonnante pour un vététiste. Les routiers ont des curieuses habitudes, ils agitent les mains derrière eux pour signaler un obstacle. A un moment, ça crie "à gauche à gauche" . Je ne comprends pas, il n'y a pas de route à gauche ! Ah ... il fallait se mettre à gauche pour laisser passer le relai suivant, bigre :-) . Nous entrons dans la vallée de Chevreuse où quelques bosses roulantes nous attendent. Ca embraye sec devant, la tradition semble vouloir que tout le monde sprinte pour passer en tête au sommet. Je souffre dans ces passages, pas assez de pêche aujourd'hui pour tirer le braquet à cette allure, me voilà décroché avec Michel devant moi. Franck qui surveille son invité se laisse descendre à mon niveau pour me faire profiter de son sillage, merci à lui, et on revient doucement sur les fuyards qui baissent le rythme pour nous attendre. St Remy, Dampierre, les Vaux de Cernay, plein d'endroits bien connus en VTT que je découvre avec étonnement sur la route.
La moindre bosse ou pancarte est le prétexte à des sprints échevelés, ils sont fous ces routiers ! Pat est dans son élément et ne laisse à personne le soin d’accélérer, pfuiii ... mais rendez-moi mon VTT, qu'on inverse un peu les rôles ! A ce régime, le virus se fatigue plus vite que moi et petit à petit, je sens le pédalage redevenir plus vif et fluide, le cardio se débloque et les pulsations montent beaucoup mieux d'un coup. Je ne suis plus largué dans les bosses, au contraire, par contre, faut pas se tromper de roue dans les faux plats descendants. Plusieurs fois, je rate le bon wagon et même avec seulement 2 m de retard, à plus de 50 km/h , rien à faire pour boucher le trou. Arrive une bosse annoncée redoutable, ça fait causer tout le groupe sur la bonne technique : Eric conseille le passage en force, d'autres le moulinage. Un Dumoulin, ça mouline, alors je mouline, et ça marche très bien, je ne la trouve pas difficile cette montée. En fait plus c'est raide, plus c'est favorable pour mon profil de vététiste. Arrive la ligne droite de Janvry qui est un grand moment de folie pure, on fonce à presque 50 à l'heure, une cassure dans le paquet, je sprinte pour boucher le trou mais rien à faire, avec Jean-Luc et Eric qui impriment un rythme de TGV. Ils font un tour un rond point en plus pour permettre à tout le monde de recoller et on fonce vers l'escargot de Marcoussis. Je me fais encore larguer dans le faux plat descendant, encore un instant d'inattention qui ne pardonne pas, c'est tout un art de rouler en peloton ! Je recolle au groupe au pied de la montée, et là , ça va beaucoup mieux. Je remonte la file, objectif Jean-Luc, Pat et Eric qui se sont fait la malle. Je reprends Eric qui monte sur un développement énorme pour travailler la force, reste 50m pour les deux de devant mais ils ne faiblissent pas. Je tombe deux dents mais il manquera 10m au sommet, très bonnes sensations quand même. Je ne ressent plus la faiblesse initiale, les derniers kms sont un vrai plaisir, j'adore sentir le vélo filer à des vitesses improbables en VTT. Jean-Luc nous quitte pour rentrer chez lui, Pat s'échappe en poursuivant une jolie cycliste ( Franck a tout prévu pour la motivation des troupes ) , je donne tout ce que je peux pour le rejoindre, mais il envoie du lourd . Je le perds dans un rond-point à Ballainvilliers, pas vu quelle rue il avait prise. Je fais trois tour du rond point pour attendre le peloton mais il n'y a plus personne derrière ?? Je suis en terrain connu, donc je rentre à Savigny et stoppe devant chez Franck pour les attendre, 107,5 km au compteur en 3h48 pour 1100m de D+. Je me sens en pleine forme à l'arrivée, presque déçu que ce soit déjà fini. Super sortie sous un beau soleil un peu frais, excellente ambiance dans le groupe, pas mal de papotage bien sympa, c'est un des bons cotés de la route, et des sensations qui ont été en s'améliorant ce qui me rassure pour la suite. Franck arrive avec Bruno et on discute autour d'une bonne bière. Merci Francky pour ce beau moment de vélo, je crois bien que je reviendrai :-) .
Eric accélère le tempo dans la montée de Villejust, je sens les effets du virus avec un manque de force dans les jambes et un souffle un peu court, mais c'est gérable et je parviens à suivre. Au sommet, nous retrouvons Jean-Luc qui va être notre guide pour le reste du parcours et aussi un sacré dynamiteur de paquet, il a la caisse le garçon ! Me voilà dans le petit peloton, l'effet d'aspiration permettant de rouler à plus de 35km/h sans gros effort, c'est vraiment une sensation étonnante pour un vététiste. Les routiers ont des curieuses habitudes, ils agitent les mains derrière eux pour signaler un obstacle. A un moment, ça crie "à gauche à gauche" . Je ne comprends pas, il n'y a pas de route à gauche ! Ah ... il fallait se mettre à gauche pour laisser passer le relai suivant, bigre :-) . Nous entrons dans la vallée de Chevreuse où quelques bosses roulantes nous attendent. Ca embraye sec devant, la tradition semble vouloir que tout le monde sprinte pour passer en tête au sommet. Je souffre dans ces passages, pas assez de pêche aujourd'hui pour tirer le braquet à cette allure, me voilà décroché avec Michel devant moi. Franck qui surveille son invité se laisse descendre à mon niveau pour me faire profiter de son sillage, merci à lui, et on revient doucement sur les fuyards qui baissent le rythme pour nous attendre. St Remy, Dampierre, les Vaux de Cernay, plein d'endroits bien connus en VTT que je découvre avec étonnement sur la route.
La moindre bosse ou pancarte est le prétexte à des sprints échevelés, ils sont fous ces routiers ! Pat est dans son élément et ne laisse à personne le soin d’accélérer, pfuiii ... mais rendez-moi mon VTT, qu'on inverse un peu les rôles ! A ce régime, le virus se fatigue plus vite que moi et petit à petit, je sens le pédalage redevenir plus vif et fluide, le cardio se débloque et les pulsations montent beaucoup mieux d'un coup. Je ne suis plus largué dans les bosses, au contraire, par contre, faut pas se tromper de roue dans les faux plats descendants. Plusieurs fois, je rate le bon wagon et même avec seulement 2 m de retard, à plus de 50 km/h , rien à faire pour boucher le trou. Arrive une bosse annoncée redoutable, ça fait causer tout le groupe sur la bonne technique : Eric conseille le passage en force, d'autres le moulinage. Un Dumoulin, ça mouline, alors je mouline, et ça marche très bien, je ne la trouve pas difficile cette montée. En fait plus c'est raide, plus c'est favorable pour mon profil de vététiste. Arrive la ligne droite de Janvry qui est un grand moment de folie pure, on fonce à presque 50 à l'heure, une cassure dans le paquet, je sprinte pour boucher le trou mais rien à faire, avec Jean-Luc et Eric qui impriment un rythme de TGV. Ils font un tour un rond point en plus pour permettre à tout le monde de recoller et on fonce vers l'escargot de Marcoussis. Je me fais encore larguer dans le faux plat descendant, encore un instant d'inattention qui ne pardonne pas, c'est tout un art de rouler en peloton ! Je recolle au groupe au pied de la montée, et là , ça va beaucoup mieux. Je remonte la file, objectif Jean-Luc, Pat et Eric qui se sont fait la malle. Je reprends Eric qui monte sur un développement énorme pour travailler la force, reste 50m pour les deux de devant mais ils ne faiblissent pas. Je tombe deux dents mais il manquera 10m au sommet, très bonnes sensations quand même. Je ne ressent plus la faiblesse initiale, les derniers kms sont un vrai plaisir, j'adore sentir le vélo filer à des vitesses improbables en VTT. Jean-Luc nous quitte pour rentrer chez lui, Pat s'échappe en poursuivant une jolie cycliste ( Franck a tout prévu pour la motivation des troupes ) , je donne tout ce que je peux pour le rejoindre, mais il envoie du lourd . Je le perds dans un rond-point à Ballainvilliers, pas vu quelle rue il avait prise. Je fais trois tour du rond point pour attendre le peloton mais il n'y a plus personne derrière ?? Je suis en terrain connu, donc je rentre à Savigny et stoppe devant chez Franck pour les attendre, 107,5 km au compteur en 3h48 pour 1100m de D+. Je me sens en pleine forme à l'arrivée, presque déçu que ce soit déjà fini. Super sortie sous un beau soleil un peu frais, excellente ambiance dans le groupe, pas mal de papotage bien sympa, c'est un des bons cotés de la route, et des sensations qui ont été en s'améliorant ce qui me rassure pour la suite. Franck arrive avec Bruno et on discute autour d'une bonne bière. Merci Francky pour ce beau moment de vélo, je crois bien que je reviendrai :-) .
Samedi 23/08/14 : sortie test à Savigny
Petit tour sur les pistes cyclables autour d'Orly pour vérifier si je peux rouler dimanche. Un virus m'a mis sur le flanc depuis mardi et je ne sais pas trop où j'en suis. Finalement, une fois sur le vélo, ça ne se passe pas si mal, la toux qui me fatigue depuis 3 jours ne se manifeste pas. Test concluant après 48 minutes de roulage et 24km.
lundi 18 août 2014
Lundi 18/08/14 : Savigny
Première sortie en RP avec le Viper sur un petit parcours pour faire tourner les jambes. Vent de face assez fort à l'aller et donc retour rapide et agréable. Découverte de l'escargot de Marcoussis en version route. Pas très difficile mais quand on voit qu'il y a des gars qui le montent à 35 de moyenne, je me demande comment ils font ! En attendant j'ai retrouvé quelques noms connus dans le classement :-)
63km en 2h20 pour 502m de D+ au GPS . L'algorithme Strava est étonnant, un coup ça surestime le D+ assez fortement et un coup c'est l'inverse, sans compter les temps de pause qui ne sont pas décomptés de la même manière que le GPS.
63km en 2h20 pour 502m de D+ au GPS . L'algorithme Strava est étonnant, un coup ça surestime le D+ assez fortement et un coup c'est l'inverse, sans compter les temps de pause qui ne sont pas décomptés de la même manière que le GPS.
dimanche 17 août 2014
Dimanche 17/08/14 : Barbizon
Le beau Spectral d'OliVTTiste |
jeudi 14 août 2014
Jeudi 14/08/14 : cartes postales
Matinée encore pluvieuse ce matin, sortie VTT au Jaizkibel annulée. Petit tour en ville avec le Viper pour aller déposer les cartes postales dans la boite aux lettre de la Poste. Retour via la côte d'Haptenia après un tour d'échauffement pour tenter de battre le record sur Strava qui semble accessible. Sprint effréné dans la bosse, jambes et poumons en feu au sommet mais record dans la poche :-) . Il m'a bien fallu 3 ou 4 minutes pour récupérer !
mercredi 13 août 2014
Mercredi 13/08/14 : Déluge !
Temps menaçant pour le début de la sortie du jour. Mais il fait bon et j'oublié rapidement les nuages ... jusqu'au moment où en commençant à me diriger vers les montagnes un énorme déluge s'abat sans prévenir sur la route. Juste le temps de me réfugier sous un gros arbre dont le tronc me protège des rafales de vent très fortes qui charrient des torrents d'eau. Les voitures s'arrêtent sur la route, on n'y voit plus rien. J'attends que le grain passe, trempé et gelé l'eau était glacée. Demi-tour avec quand même un retour par la Corniche où le soleil est de retour. Je n'avance pas, le vent de face souffle à plus de 50km/h, un vrai mur ! Retour à la maison après seulement 27km et 1h08 de roulage pour 380m de D+.
mardi 12 août 2014
Mardi 12/08/14 : boucle Ibardin-Bera
Sortie en direction du col d'Ibardin histoire de tenter d'améliorer le temps dans la montée. Beau temps ce matin, mais j'ai mal partout après une session dans des grosses vagues toute l'après-midi de lundi en body board. Départ tranquille le temps que l'organisme chauffe. Je dois m'arrêter plusieurs fois pour redémarrer le GPS qui refuse obstinément de capter les satellites ce matin, ce n'est pas la première fois que j'ai ce souci à Hendaye, il doit y avoir une explication rationelle mais je ne la connais pas. J'arrive au pied du col après 15km rapidement avalés, montée en rythme avec un temps amélioré de presque 1 minute au sommet. Belle descente coté espagnol que je ne connaissais pas, de beaux virages assez larges pour pouvoir filer sans trop toucher aux freins. J'arrive dans le joli village de Bera puis c'est le retour sous Hendaye ça file à plus de 30km/h de moyenne. En arrivant à Hendaye, je donne tout ce que je peux dans la côte du Bolero dans l'espoir d'améliorer mon chrono, objectif dépassé me voilà 2ème à moins de 2s du premier, il va falloir la retenter celle-là :-) . Retour à la maison après 39km, 1h30 de roulage de 600m de D+.
dimanche 10 août 2014
Dimanche 10/08/14 : Hendaye-Ciboure-Sare
La baie de Ciboure |
samedi 9 août 2014
Samedi 09/08/14 : le col d'Ispeguy
Le col d'Ispeguy est un des sommets à ne pas manquer à vélo au sein du Pays Basque. Après deux escapades sur les sentiers, retour du coté sombre avec le Viper qui commençait à piaffer d'impatience. Direction l'Espagne via la route nationale qui longe la Bidassoa. Le départ est roulant sur les 20 premiers kms. Les jambes tournent bien et il y a plein de vélos sur cet itinéraire, ça permet de se motiver avec des cibles devant. Ca me fait tout drôle de rouler aussi vite, je n'ai pas l'habitude. Je ne résiste pas à l'envie de placer quelques accélérations pour dépasser ceux qui me précédent grisé par les capacités de ma fusée à roues. Il ne faut pas s'emballer, car deux grosses ascensions à la suite m'attendent . Le panneau "Lesaka" apparaît, c'est là qu'il faut tourner pour débuter la montée. Je traverse ce beau petit village pittoresque puis c'est parti pour une montée de 7km avec un revêtement excellent et une pente régulière. Le GPS indisque à cet instant 28km/h de moyenne mais ça ne va pas durer. Je sens qu'il doit être possible d'emmener du gros braquet ici je n'en suis pas encore capable et je me contente donc de monter en cadence avec des bonnes sensations. Le sommet se présente, très joli paysage avec de beaux sentiers sur lesquels je vois avancer trois VTT, il va falloir étudier le sujet.
Une belle descente se présente, la route est sèche et large, ça me permet de progresser avec le Viper avec des trrajectoires plus assurées et une meilleure maîtrise du freinage qui fait quand même toujours drôle quand on est habitué à des freins à disque hydrauliques. 3 km plus loin, passage d'un lac de barrage et ça remonte à nouveau pour 4km. Je reviens rapidement sur un vélo qui me précédait, lorsque se présente un obstacle inhabituel : un long tunnel tout noir. Avec les lunettes de soleil, je ne vois strictement plus rien, fixant la lumière de la sortie avec une drôle de sensation, j'en ai presque la tête qui tourne. A la sortie, c'est la descente, longue et rapide pour revenir sur Irun par une route en montagnes russes qui use bien les jambes car il y a quand même des belles bosses de 100m de D+. Je traverse Irun puis Béhobie et retour par le chemin habituel où j'améliore significativement mon record dans la grosse côte qui remonte sur le haut d'Hendaye, 4km/h de gagné entre le Cube et le Viper, pas de doute, Strava ça motive ! . Arrivée à la maison avec 63,5km, 1100m de D+ et 2h47 de roulage.
Une belle descente se présente, la route est sèche et large, ça me permet de progresser avec le Viper avec des trrajectoires plus assurées et une meilleure maîtrise du freinage qui fait quand même toujours drôle quand on est habitué à des freins à disque hydrauliques. 3 km plus loin, passage d'un lac de barrage et ça remonte à nouveau pour 4km. Je reviens rapidement sur un vélo qui me précédait, lorsque se présente un obstacle inhabituel : un long tunnel tout noir. Avec les lunettes de soleil, je ne vois strictement plus rien, fixant la lumière de la sortie avec une drôle de sensation, j'en ai presque la tête qui tourne. A la sortie, c'est la descente, longue et rapide pour revenir sur Irun par une route en montagnes russes qui use bien les jambes car il y a quand même des belles bosses de 100m de D+. Je traverse Irun puis Béhobie et retour par le chemin habituel où j'améliore significativement mon record dans la grosse côte qui remonte sur le haut d'Hendaye, 4km/h de gagné entre le Cube et le Viper, pas de doute, Strava ça motive ! . Arrivée à la maison avec 63,5km, 1100m de D+ et 2h47 de roulage.
jeudi 7 août 2014
Jeudi 07/08/14 : les petits hommes verts ont marché sur la Rhune
Au sommet de la Rhune |
J'arrive au sommet après un peu plus d'1/2h de montée juste au moment où je reçois un SMS de Ludovic qui est au rendez-vous au niveau du col qui est situé en contrebas. Nous nous retrouvons 2 minutes plus tard. Moment sympa que de se retrouver entre membres du club de St Michel à plus de 800km de notre base. Nous descendons un peu pour rejoindre la route puis le chemin menant à la Rhune. Vue superbe sur le sentier en balcon avant la petite descente qui mène au panneau "La Run". C'est parti pour un petite bosse de 4km et 600m de D+, du lourd ! Le début n'est pas difficile, nous pouvons papoter avec Ludo, à qui j'explique les endroits stratégiques de la montée : après une partie facile, une longe montée à 20% droit dans la pente sur plus d'un km. Ensuite ça se calme ( un peu ), il faut en profiter pour récupérer. On enchaîne alors sur quelques virages avec un pente raisonnable pour l'endroit de 15%, puis la petite descente qui mène au début de la ligne droite finale, la plus dure, avec une pente qui ne cesse d'augmenter pour fiinir à presque 30% dans un virage terrible. Si on passe le virage, c'est gagné, ça monte encore mais c'est plus "humain". C'est ma cinquième tentative, et jusqu'alors je ne suis jamais parvenu en haut sans faire de pause pour reprendre mon souffle. Etre à deux est une grande aide, on se motive mutuellement. Première victoire, la première rampe difficile est avalée sans coup férir, ça me rend optimiste, je ne l'avais jamais grimpée d'un traite celle-là. Les sensations sont très bonnes, et le Cube définitivement un vélo extraordinaire d'efficacité quelque soit le terrain. Ludovic suit sans problèmes, sachant qu'ici tout est relatif, c'est très dur tout le temps et il faut résister à l'envie de s'arrêter. Le souffle et le cardio sont bons, pas dans la zone rouge, je réalise cette fois vraiment tous les bienfaits de l'entraînement Granit 2014 et en particulier du régime pour perdre du poids. Dans une montée comme la Rhune, la différence est immense. Je n'ai plus mal aux jambes mais par contre, je commence à avoir sérieusement mal aux fesses avec la forte pression pour avancer. Quelques mètres en danseuse font du bien. On aperçoit des Pottocks dans la pente, puis on voit la terrible dernière ligne droite. C'est là que tout va se jouer ... Un "pshiiit" irrégulier se fait entendre sur le vélo de Ludo : crevaison à l'arrière mais le latex semble faire son effet. On continue donc en croisant les doigts. Voilà la petite descente, qu'on emprunte au ralenti, il faut en profiter pour récupérer. Et ça remonte. Surtout ne pas regarder en haut, je fixe ma roue en évitant de buter sur une des nombreuses rigoles et de ne pas riper sur les cailloux très fuyants. Ca monte de plus en plus ! Je serre les dents, m'applique à bien respirer et garder un rythme constant. Il faut se dresser sur les pédales à l'approche du virage, la pente est impressionnante, heureusement c'est bitumé à cet endroit. Un replat de 3m et ça repart encore plus fort. Là je suis au taquet, faudrait pas que ça dure trop longtemps. Mini replat bienvenue en sortant du virage, puis ça repart mais moins raide. A l'approche du sommet ça se calme. Gagné ! Nous sommes montés tous les deux d'une traite !
Waouh, génial, un de mes rêves de vététiste accompli. J'ai monté la Rhune sans poser le pied ! Les petits hommes verts vont marcher sur la Rhune, ça mériterait presque un flash aux infos de 13h . Dernier effort pour monter la rampe qui mène à l'antenne sous les encouragements des piétons. On y est !! Le petit train arrive quelques instants plus tard avec toute la famille de Ludo.. Emmanuelle, sa charmante épouse , va nous prendre en photos pour immortaliser l'instant. Je ne peux malheureusement pas m'attarder, il faut rentrer à la maison faire à manger à Nico. Je salue tout le monde, baisse la selle et me voilà dans la descente. Je ne l'aime pas celle-là : trop droite, trop pentue, cailloux suivants et un mauvais souvenir de chute. Mais le Cube est bien plus efficace que le Sobre dans cet exercice et tout se passe sans souci, mais avec prudence. Je lâche les freins sur la partie moins raide ( attention aux mégas rigoles) , et rejoint rapidement de col d'Ibardin. Retour pour la route pour gagner du temps, je suis bien plus à l'aise sur le VTT que sur le vélo de route dans cette descente. Par contre avec le plateau de 26, même pas la peine d'essayer de pédaler ! Interminable faux plat ( +200m quand même ... ) pour rejoindre Hendaye depuis Urrugne et retour à la maison après 3h27 de roulage, 1440m de D+, et 52km. J'ai un grand sourire, méditant déjà les effets de la prochaine phase d'entraînement :-) . Ca va saigner à la rentrée, d'autant que Ludo a commandé lui aussi son arme fatale en 29", un beau Spark tout neuf. Au retour, Strava indique le 11ème temps au classement général pour notre ascension, pas mal :-)
mercredi 6 août 2014
Mercredi 06/08/14 : les Trois Couronnes
Les dents des Trois Couronnes |
C'est bien l'AF2 qui roule aujourd'hui :-) |
Ca monte longtemps avec quelques passages où je redescends. Il y a comme souvent ici pas mal d'eau par endroit, avec des petits passages de gués sympas. Puis un single magnifique mais un peu ... épineux car étroit et bordé de buissons bien piquants. Je mets même pied à terre quelques mètre pour ne pas finir déchiqueté et surtout ... le sentier est en balcon pas le moment de faire un écart. J'arrive au sommet, je retrouve le Lasaingaina où j'étais passé l'an dernier. Chic : vue magnifique et surtout, je sais qu'une super descente de 500m de D- m'attend.
Le Cube fait merveille dans la descente, bien cassante et qui finis par me donner mal aux avants bras, surtout avec le pente vertigineuse sur la dernière partie qui fait bien chauffer les freins. Retour à la maison après 38km et 2h30 de roulage pour 1000m de D+, une sortie tip top . Au retour, coup de fil de Ludovic qui est de passages dans le coin. Demain, on attaque ensemble la Rhune !
lundi 4 août 2014
Lundi 04/08/2014 : Ibardin
Grosse averse ce matin, mais le beau temps revient vers 9h . Petite sortie en direction du Col d'Ibardin, histoire d'étalonner mon temps sur Strava. Un peu mal aux jambes au départ mais ça passe rapidement. La montée du col n'est pas super agréable car trop de circulation, vive le VTT :-) . J'appuie sérieusement sur les pédales, passage du sommet 17 minutes après le départ de référence, 19ème temps des 45-54 ans à une minute du 10ème, je sens que je reviendrai ! Retour par la Corniche Basque, magnifique. Le Viper file sur les montagnes russes sur un revêtement bien lisse. Très agréable sensations , il va falloir que je consulte ... Franck a du droguer mon café , seule explication logique. Retour à la maison après 38km, 650m de D+ et 1h42 de roulage.
dimanche 3 août 2014
Dimanche 03/08/2014 : Jaizkibel
En vacances à Hendaye, mais tout seul avec mon fils, suite à un changement de boulot, madame n'a malheureusement pas pu nous accompagner. Difficile donc de me lancer dans des sorties VTT trop longues. Malgré tout nous sommes venus avec trois vélos : un VTT pour nico, l'AF2 pour papa et ... l'AF4 :-) . Histoire de pouvoir profiter des cols de la région sans y passer trop de temps, j'ai fait l'acquisition d'un vélo de route, profitant de soldes vraiment super compétitives ( plus de 50% de remise ) . Me voilà donc ce dimanche matin lancé sur les routes du Pays Basque avec une arme de moins de 8kg. Sensation étrange que ce vélo avec un drôle de guidon, des freins placés n'importe où, pas de suspension, des pneus si fins qu'on se demande comme ça fait pour rouler . Mais ça roule ! Direction le Jaizkibel, sur les traces de la Classica San Sebastian qui avait lieu hier. Encore plein d'inscriptions sur la route, on s'y croirait. Après avoir traversé Irun, j'arrive sur les premières pentes pour une montée de 7km à 6,7% de moyenne. Un bon petit col. J'imprime un rythme soutenu, surpris par la facilité qu'à le vélo à avancer, le compter affiche des chiffres nettement supérieurs au VTT. Je double pas mal de cyclistes dans ce lieu bien connu de la région. Voilà enfin le sommet, place à la descente. Ouh là ! C'est quoi cette position bizarre, je suis moyennement rassuré par la position penchée en avant, il me faut quelques km pour trouver mes marques, sans compter que j'ai une confiance modérée dans le freinage. Me voilà en bas, dans le petit port de Lezo. Demi-tour, pour remonter. Beaucoup de monde désormais, il y a des vélos partout, route et VTT. Je remonte la file, c'est plutôt motivant. Le début est plus pentu dans ce sens, me voilà tout à gauche. Une épingle bien raide, un gars sur un Spé carbone profilé me passe en danseuse comme une fusée. Comment il fait ? Il se rassoit, je monte le rythme pour essayer de suivre. L'écart se stabilise, je l'ai en point de mire. Il fait chaud, je transpire à grosses gouttes. Je suis surpris par le rendement de mon engin, je réalise que je regagne un peu de terrain. Ca grimpe plus fort, je force un peu, je reviens doucement. Je vois ma cible se mettre en danseuse, mon instinct de routier naissant me dit qu'il n'est pas si facile que cela. Je sais que les 2 derniers km sont plus faciles. Alors ... je force un peu plus, me voilà dans la roue. Un chatouillement d'adrénaline me parcours l'échine. Plein d'inscriptions de toutes sorte sur la route, me voilà au tour de France, j'entends la voie du speaker qui annonce la tête de course. Je tombe deux dents me dresse sur les pédales et ... je suis stupéfait par la réaction du vélo qui bondit en avant, le compteur prend 5 puis 10km/h de mieux. Me voilà lancé comme une fusée à plus de 25km/h, je laisse sur place mon adversaire et revient sur un petit groupe devant. Wouah quelles sensations ! Pause au sommet pour prendre quelques photos puis je dévale la descente direction Irun puis Hendaye. Au final 1100m de D+ pour 52km et 2h30 de roulage.
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